Ouai bon comme t'as posté dan smon recueil je fais de même

Donc euh je sais pas trop quoi en dire vu que c'est un début j'attends de voir la suite mais c'est bien je trouve

Dernière modification par shundaime (30-07-2007 12:34:01)

Pour ton premier texte, meme critique que pour certaines de tes fics sur WoN, t'a du vocabultaire, tes phrases sont pas mal construites... Mais c'ets lourd. Suffit pas d'enchainer des propositions tarabistcotée avec des mots recherchés pour faire un bon texte. En faite tes textes ressmeblent plus a une démo de connaissances qu'a autre chose. C'ets dommage. Faut que t'aprenne a peut être simplifier ton texte, je sait pas. Car déja que j'ai eu du mal a finir ton premier texte, j'imagine pas si il était plus long.
Pour le deuxieme, trop court pour que je puisse juger, c'ets déja moins lourd par contre.

J'e n'ai pas encore fini ce poème, et pour cause : je ne retrouve plus la feuille sur laquelle je l'ai écrit.
Mais bon, je viens bien pouvoir improviser un peu...

[align=center]La couleur tombée du ciel

Silence. La pluie tombait derrière les vitres. Les gouttes suintaient et l’eau rampait. Rien ne bougeait à l’intérieur sous son chaud manteau de poussière. Les ombres étaient statiques et les éclairs illuminaient par intermittence la sombre pièce. Celle-ci n’était pas grande, mais le simple petit bruit aurait ébranlé cette masse hétéroclite. Et personne n’habitait ici depuis longtemps à en voir l’état désuet du mobilier. C’était calme et reposant. Dehors, les éléments en furie s’agitaient et  se démenaient entre eux. Près de la cheminée s’étalaient des bûches rongées par les mites et autres inspectes raffolant de sa constitution. Sur la margelle en marbre moucheté de saletés se trouvaient des cadres tombant en déliquescence, où le papier jauni aux bords rabougris ne laissait plus voir que de vagues formes à la place des images remplies de détails foisonnant. C’était une agonie lente et mesurée, pleine de grâce, terrée dans son silence.

Un craquement se fit entendre. J’eusse aimé croire que cela venait de moi, mais il n’en n’était rien. Ce n’était ni le vent, ni la pluie ; ils n’avaient de pouvoir en cette chapelle. Alors qu’était-ce ; ou peut être, qui était-ce ? Une nuée de réponses noyèrent durant un court instant mon esprit, mais mes yeux trahir mes espérances. Au milieu de la pièce, là où un tapis mangé par le temps tombait en loque, naquit un point lumineux. Mais cette sourde lumière, par sa couleur violette, semblait avaler de sa substance la pâle lumière qui filtrait à travers les volets disjoints. La minuscule particule lumineuse grandit jusqu’à prendre la forme d’un trou assez grand pour que puisse m’y insinuer sans problème. Arrivé à ce stade avancé, et à l’instar de la manifestation lumineuse qui semblait s’effondrer sur elle-même, je m’enfonçais de plus en plus profondément dans un fauteuil qui n’avait pas été animé depuis une éternité par une chaleur humaine.

Froid. [/align]

Dernière modification par belgarion (18-01-2008 17:43:24)