[quote=Hinata-soma]Sous la lune d'argent
La lune éclairait la prairie
J’étais si seule cette nuit
Ma robe s’agitait au vent
Je pleurais si doucement
Tu m’avais donné la rose
Accompagné de ta prose
Hier tu dansais avec moi
Me soufflant cet autrefois
Sous ma lune si solitaire
Ne quittant pas ma Terre
Etant alliée à la tristesse
Je voulais que ça cesse
Tu avais hurlé mon nom
Avec tant de sensations
Hier tu dansais avec moi
Me gardant si près de toi
Sous ma lune si solitaire
Tu es parti de cette Terre
Oubliant tout d’autrefois
L’abandonnant loin de toi
Et la petite fille qui pleure
Et la petite fille qui meurt
Oubliée dans cette Terre
Son cœur meurt, solitaire
Qui est ce garçon qui va
Qui est ce garçon là-bas
Celui qui a crié son nom
Inventant cette chanson
Tu avais hurlé mon nom
Avec tant d’imagination
Tu m’avais pris ma main
Regardant venir le matin
Mais notre bonheur brisé
N’a jamais été si illuminé
Tu es tombé tellement tôt
Sans jamais lire ces mots
Un jour je viendrai là haut
Je te chanterai mes mots
Comme tu as crié ce nom
Avec toute l’imagination
Je t’aime...
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Perdue dans le passé
Comme un soleil sans chaleur
Je sentis cette si forte douleur
Dans le vent je sentais le froid
Ces cris de malheur d’autrefois
Comme un bateau à voile perdu
Je me perdais tel un ange déchu
Dans la profondeur de cet Océan
Je m’enfonçais là-bas doucement
Comme un oiseau sans bonheur
Je me perdais à travers ma peur
Abandonnant derrière un espoir
De garder cette force d’y croire
Comme un arc-en-ciel sans teinte
Je m’obligeais à écouter la plainte
Celle d’un petit faon oublié de moi
Celle d’une fleur perdue d’autrefois
Comme une nuit sans cauchemar
Je sus alors que c’était trop tard
Et malgré ma distance, j’avançais
Mais dans ce néant je me perdais
Comme un oiseau sans ses ailes
Je perdais la vue de ce cruel ciel
Et doucement je tombais avec toi
Revivant notre réalité d’autrefois
Comme un monde sans sa lumière
Je quittais si doucement cette Terre
Oubliant tout de la misère de la vie
Et ne voulant plus croire au paradis
Comme un cœur sans aucun amour
Je m’envolais là-bas pour toujours
Sans croire mes plus grandes peurs
Je continuais ce voyage de malheur
Comme une belle rivière sans eau
Je pleurais sans trouver les mots
Et dans ma solitude je continuais
A oublier la petite fille que j’étais
Que faire pour retrouver l’enfance
D’une autre vie sans la souffrance
Puis qu’un jour je sois de nouveau
Cette petite fille de ce monde beau
Je ne sais pas.
On verra…
Pour le moment je vis,
J'écris...
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Un amour difficile...
Me regardant des de travers
Voyant ce monde à l’envers
Tu ne comprends plus rien
Voguant droit vers cette fin
Jetant un regard derrière toi
Espérant faire un bon choix
Tu avances dans cette nuit
Emportant tout de notre vie
Oubliant tout de toi, de moi
Tu continues sur cette voie
Fixant tristement l’horizon
Tu n’as plus aucune raison
Ton esprit devient sombre
Fuyant toute la pénombre
Ton regard devient triste
Ton pauvre cœur persiste
Je te contemple lentement
Il vole avec toi, notre vent
Me sentant seule à présent
Je dois continuer en avant
Voyant disparaître ton cœur
Voyant s’envoler le bonheur
Je sens mon cœur se fermer
Entendant ma réalité me huer
Que tu me manques N’amour
Quand arrivera ce beau jour
Où nous serons enfin réunis
Continuant notre longue vie
Mais tu pars déjà tout là-bas
Oubliant tout de toi, de moi
Espérant un jour te retrouver
Pour cette nouvelle éternité
Ecoute parler ton cœur
Redonne-toi le bonheur
Moi, je t’attends en vain
Je ne veux pas de ta fin
Je t’aime…
Tu m’aimes…
On s’aime…
Pourquoi souffrir alors,
Si on se désire encore ?
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Peur
Peur de ne plus pouvoir sourire
Peur d’éternellement souffrir
Peur de ne voir que des ombres
Et mourir dans un monde sombre
…
Peur de sombrer dans l’inutile
Et d’agacer ces gens fragiles
Peur de gêner tous ces gens
Faisant perdre leur temps
…
Peur de voir ce monde changer
Peur de me voir tant pleurer
Peur d’essayer de m’exprimer
Pour au fond tout recommencer
…
Peur de voir le vent tourner
Peur de voir ma vie se briser
Peur de voir ce chaud soleil
Tomber dans un long sommeil
…
Peur d’espérer une petite lueur
Tout au fond de ce triste cœur
Peur de voir le monde en flamme
Découvrant la peur d’une femme
…
Peur de voir ma vie me tuer
Peur de ne plus rien imaginer
Peur de voir le néant tourner
Peur de voir la mort danser
…
Peur de voir ma vie m’étouffer
Pour ensuite tout recommencer
Peur de voir mon cœur mourir
Pour éternellement souffrir
…
Peur de voir ma vie me détruire
Pour finalement continuer de fuir
Peur de voir tous ces regards
Montrant un cruel brouillard
…
Peur d’avoir gêné tant de gens
A qui je faisais perdre le temps
Peur de devoir tout quitter
Pour ensuite tout oublier
…
Peur de voir ma vie s’effacer
De voir ma peine augmenter
Peur de devoir dire « Pardon »
Et de perdre mon imagination
…
Peur de vivre dans ce monde
Entourée de mauvaises ondes
Peur de vivre dans la réalité
Peur de pouvoir le constater
…
Peur de ne pouvoir aimer
Peur de ne pas être aimer
…
…
__________________________
Doutes
Solitude absolue et total désespoir,
Ne percevant aucune lueur ce soir,
Connaissant toutes ces journées,
Espérant de quitter cette réalité…
Je dessines des lettres dans l’ombre,
Tout commence à devenir si sombre,
Mon cœur cesse de percevoir l’amour,
Cette joie de vivre part pour toujours…
Je tombe si bas, je tombe là-bas,
Dans ce triste néant d’autrefois,
Je voudrai réussir à tout quitter,
Pouvoir voir cette cruelle réalité…
Pourquoi tout se termine ainsi,
Oubliant même ses bons amis ?
Pourquoi vouloir tout quitter,
Pour enfin tout recommencer ?
Je ne fais qu’écrire la même chose,
Ma vie, mes amours, et cette rose,
Pourquoi conter la même histoire,
Alors qu’à la fin ça devient si noir…
Pourquoi décider de partager ça,
Alors que tout devient autrefois ?
Pourquoi vouloir continuer d’écrire,
Toujours la même chose, souffrir ?
Cette solitude qui grandit en moi,
Finira t-elle d’être juste une fois ?
Ce cruel monde m’empêche d’avancer,
Comment combattre toute la réalité ?
Mes amies se perdent dans ce néant,
Et nous manquons toutes de temps,
Nous ne faisons que reculer là-bas,
Pour tomber et se perdre plus bas…
Solitude absolue et total désespoir,
Oubliant la douceur d’un tendre soir,
Continuant de pleurer toute la vie,
Oubliant tout même ses bons amis…
Tout le monde devient inconnu,
Dans ce silence pire qu’absolu,
Devenant terne et sans couleur,
Percevant que ce cruel malheur…
Les lames glissent sur la peau,
Tendres, aussi douces que l’eau,
Mais agressives comme le feu,
Et attaquantes comme eux…
Pourtant, on espère tout quitter,
Oublier tout pour recommencer,
Arriverons-nous à continuer la vie,
Malgré cette solitude, ces ennuis ?
Je ne sais pas.
Je ne sais plus.
Fuir ? Partir ?
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Aimer...
Ne suis-je qu’une simple poupée de cire,
Qui a été crée simplement pour souffrir ?
Ne suis-je qu’un simple objet, une pierre,
Oubliée comme un grain de poussière…
Pourquoi suis-je si petite, tellement triste,
Faut-il encore une fois que je persiste ?
Pourquoi la vie ne m’a jamais laisser aimer,
Suis-je donc condamnée à être oubliée ?
Mon cœur n’est pas fait de papier chiffon,
Il ressent toute la douleur, les sensations…
Ai-je été crée pour souffrir éternellement,
Je ne veux pas souffrir, j’aime tellement…
Suis-je condamnée à rester sur cette étagère,
Attendant chaque matin de voir la lumière ?
Pourquoi ne puis-je pas partir et l’aimer,
N’ai-je pas le droit de tout exprimer ?
Ne suis-je qu’une simple poupée de cire,
Qui a été crée uniquement pour souffrir ?
Pourquoi la vie ne m’a pas laissé le choix,
De trouver le bon chemin, la bonne voie ?
Je ressens chaque jour, encore plus d’amour,
Mais… son cœur, à lui, reste muet, sourd …
Je ressens toute la douleur et toute la joie,
Je voudrai tellement qu’il me voit, me croit…
Une poupée ne peut pas être oubliée ainsi,
Je donnerais vraiment tout, même ma vie,
Pour qu’un jour de beau temps, je sois à lui,
Et qu’enfin, il me dise vraiment qui je suis…
Ne suis-je qu’une simple poupée de cire,
Qui a été crée uniquement pour obéir ?
N’ai-je point le droit de m’exprimer,
Et de crier au monde entier d’aimer ?
Je ne veux pas être oubliée à jamais,
Je voudrai tellement pouvoir parler…
Afin que lui, et lui seul, me voit,
Et qu’il m’aime tel que je sois…
Mais je ne suis qu’une poupée de cire…
Qui a été crée uniquement pour souffrir…
Je t’aime mon amour,
Même si ton cœur restera sourd…
Voilà!!!Les aimez-vous?[/quote]
Oui j'aime bien , moi j'en n'est un petit :
La vie tu l'aime ,
Puis tu la deteste ,
Ensuite tu oublie ,
Et tu te reconstruit ,
Mais dans la nuit ,
Tu la detruit ,
Pourquoi survivre ,
Devrait-je suivre ?
Tu semble très passionnée quand tu écrit, j'adore. Tes rimes ne sont pas choisit au hasard... C'est du Solide. ^^