[quote=Pinocchio]Sans compter qu'avoir des parents n'est pas une nécessité pour garantir le développement intellectuel d'un enfant.
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Ce qu'il faut à un enfant ce sont des référants des deux sexes, mais pas nécessairement ses parents, d'ailleurs ce sont rarement eux dans les familles vu le manque de lien affectif. Le référant ils peuvent le trouver partout, ça peut être les grand-parents comme ça peut être le professeur à l'école que l'on apprécie.
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L'argument comme quoi l'archétype familial de la mère du père et de l'enfant est nécessaire au développement n'est qu'un argument servant aux réactionnaires déjà contredis mais tellement médiatisé qu'il est devenu une légende urbaine.
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[b]Psychanalyse : [/b] http://www.inventionpsychanalyse.com/adoption.php
[b]Psychologie : [/b] http://www.psy.be/famille/fr/enfants/enfant-adopte.htm
[b]Témoignage : [/b] http://www.filsantejeunes.com/dossiers- … ne-adoptee
[b]Statistiques, d'après des études rigoureuses et fiables : [/b]
[i] D’après Wilson et al. (1986) qui ont étudié les troubles « borderline » chez les sujets adoptés, beaucoup de patients adoptés hospitalisés (10 sur 21) présentent un diagnostic de trouble de la personnalité « borderline ». Les psychiatres américains observent une sur-représentation parmi les personnes adoptées des garçons avec trouble de l'identité de genre. Le pourcentage de garçons avec des problèmes d'identité de genre qui avaient été adoptés très tôt (7.6%) semble plus important que ceux des garçons adoptés durant les deux premières années de leur vie (1.5%). Slap G, Goodman E, Huang B. (2001) considèrent l’adoption comme un des facteurs à risque pour des tentatives de suicide durant l'adolescence. Les personnes adoptées diffèrent des personnes non adoptées sur 4 des 26 variables. Ils semblent plus disposés à faire des tentatives de suicide (7.6% contre 3.1%) et à avoir reçu des soins psychologiques dans l'année précédente (16.9% contre 8.2%), alors que leur mère présente une plus grande éducation parentale et perçoit de bons revenus familiaux.
Hjern A, Lindblad F, Vinnerljung B. (2002) étudient les risques suicidaires, les suicides, les maladies psychiatriques et les problèmes d’inadaptation sociale chez les personnes adoptées venant d'un autre pays en Suède. Les adoptés en Suède présentent un risque élevés de problèmes mentaux graves et d'inadaptation sociale à l'adolescence et au début de l’âge adulte.
Cubito D. et Brandon K. (2002) analysent les modifications psychologiques chez les adultes adoptés (estimation de la souffrance, depression, et colère) en contact ou non avec leurs parents biologiques. Cette analyse considère les critères suivants : le genre, le statut de leurs recherches, ceux qui n'avaient jamais cherché, ceux qui cherchaient, et ceux qui avaient eu un contact avec leurs parents biologiques, et les antécédents d'utilisation de services de santé mentale. Comparé à des données normatives, l'échantillon a rapporté des niveaux considérablement plus élevés d'inadaptation psychologique; seules les femmes adoptées avaient un score plus élevé de mesure de colère. Les scores moyens des adoptés étaient élevés mais ne s'approchaient pas des niveaux typiques des populations non hospitalisées.
Warren (1992) rapportant des données épidémiologiques à partir d’un échantillon national de 3698 adolescents, parmi lesquels 145 sont adoptés, indique que l'adoption augmente sensiblement la probabilité d'orientation vers un traitement psychiatrique, même après avoir observé le fait que les personnes adoptées affichent plus de problèmes comportementaux et viennent de familles plus éduquées. [/i]
[b]Démantèlement des propagandes [/b] :
http://www.infoselec.net/politique/mariage-gay.html
Tout le monde sait que l'adoption, à la base, est source de désavantage pour l'enfant. Même si les cas ne sont pas à généraliser. L'abandon est une atrocité, et la misère qui l'a provoque est atroce.
L'homoparentalité est un surplus négatif, il est basé sur l'abandon déjà déficiente et il envenime par un manque de repère encore plus grand.
Tout le monde sait que la perfection pour l'enfant, c'est vivre avec ses vrais parents et bénéficier de tout l'amour possible. Les autres structures sont imparfaites, peuvent pallier dans la mesure du possible, mais ne valent pas l'originelle.
Dame nature reste intangible sur ses avantages.
L'avançée vers un monde parfait, c'est limiter au maximum ce phénomène.
[b]Voilà une vision progressiste digne & positive. [/b]
Je ne peux croire, en tant qu'Homme, qu'on puisse généraliser et amplifier une atrocité. S'en servir à profit personnel. Les gens creusent, mais d'autres ne veulent pas creuser. Certains veulent l'évolution, pas la régression. Si le mariage ne représente et n'encourage plus cette structure, que nous reste-t-il ?
La médiocrité, la perversion, le plongeon.
Donc à défaut de te faire ressentir une certaine ampathie, silteplai Pinocchio, [b]arrêtes de mentir. [/b]
Dernière modification par Kerr Smith (29-03-2013 00:00:38)