"Mon histoire débute ici, dans le petit village-état des sables mouvants où je suis née le 4 mai 77. J'ai toujours été très agitée et tout le monde au village soupire en entendant parler d'Alana mais mes cheveux gris et mes yeux bleus déstabilisent toujours ceux qui tentent de me réprimander. Quand je suis entrée à l'école tout le monde s'est dit que mes profs allaient en baver mais finalement ils ont plutôt [b]râlé[/b] à cause de mes siestes sauf le prof de sport qui, lui, a toujours été content de mes résultats, il faut dire que j'ai toujours été douée en sport. Aujourd'hui, en ce beau jour qu'est le 7 octobre 86, je viens de repérer un corps enroulé par terre sur le bord du chemin.
- Salut, t'es qui ?
Le corps se tourna vers moi me dévoilant le visage d'un adolescent d'une quinzaine d'années dont la peau albinos faisait ressortir étrangement [b]ses [/b] yeux bleus et [b]ses[/b] courts cheveux blonds.
- Moi ? Un immigré à la rue. Rien de bien intéressant. Pourquoi ?
- Je t'ai demandé ton prénom.
- Je m'appelle Akira, pour que tu t'intéresses autant à un inconnu je suppose que tu es Alana.
- Bien vu. Tu viens ?
- De quoi ? Où ça ?
- Ben, chez moi oni-chan.
- De quoi ! Oni-chan ? Bon, si tu veux.
Réjouie, je l'emmène chez moi pour qu'il se lave parce que là il sent vraiment pas la rose."
"J'arrivais, sonné, derrière Alana, à la porte d'une maison du bord du village, sachant très bien que je ne serais pas abordé par quelqu'un avant des jours et mon ventre était tordu par la faim. Alors que j'entrais à la suite d'Alana j'entendis un grognement du salon sur ma droite suivi d'une voix grave.
- C'est qui que tu as décidé de ramener aujourd'hui ?
- Eric, laisse-le donc entrer d'abord, d'ailleurs Alana comment va la dame que tu nous as ramenée lundi ?
- La grand-mère ? Bien, je crois qu'elle a retrouvé son chien.
- Sandrine, tu ne devrais pas la laisser ramener tellement de monde.
- Mais Eric, on ne va pas la gronder parce qu'elle veut le bien des gens.
- C'est pas tout ça mais il faudrait qu'il aille se laver.
- C'est vrai, et puis tu dois mourir de faim, va donc te laver, je vais faire un dessert pour qu'on [b]ait[/b] de quoi manger [b]tous[/b] les quatre et tu nous raconteras ton histoire à table. Alana, viens m'aider et toi Eric, tu devrais bien trouver quelques vêtements à lui prêter.
- Vous m'énervez, dit d'abord Eric puis il continua plus posément, la salle de bain est en haut à droite, tu m'as l'air assez fin tu risques de flotter dans mes vêtements, je vais voir avec le voisin.
Alana se dirigea vers la cuisine suivie de sa mère qui chantonnait un air qui m'était inconnu et Eric sortait, je montais donc l'escalier en repensant à mes parents et les rares souvenirs que j'en avais[b],[/b] ce qui me fit couler une larme de tristesse qui fut rejointe par un flot de larmes de joie lorsque j'entendis Sandrine crier du bas de l'escalier : 'Tu peux rester aussi longtemps qu'il le faudra'."
Note 0 : J'ai corrigé tes fautes d'orthographe en gras.
Note 1: "La peau albinos" n'existe pas... L'adjectif albinos ne s'accorde pas à la peau.
Note 2 : Euh, un immigré à la rue connaît le nom d'une gamine de ... 9 ans ? Il ne doit vraiment pas chercher activement du boulot...
Note 3 : Ouais classique, une gamine de 9 ans qui marche dans la rue avec un inconnu de 15 ans. Franchement, je regarderais ça d'un drôle d'oeil moi...
Note 4 : Alana, Akira, en voilà des prénoms originaux. Et puis Oni-chan ça fait vraiment japonais !
Alors pourquoi les parents s'appellent-ils Eric et Sandrine ?!!!!!!!
Note 5 : Je rappelle que l'enfant est un immigré de 15 ans à la rue... Au début, ça ne m'a pas choqué, parce que c'était courant à une certaine époque... Mais à cette époque là, on ne faisait pas un gâteau aux inconnus en lui offrant des vêtements --'.
Note X : Ton texte est bourré d'incohérences, c'est d'une mièvrerie sans nom et c'est beaucoup trop orienté.
On comprend en une demi-seconde que Akira et Alana seront les héros, mais mieux encore, qu'on n'en sera pas plus sur eux avant de les voir partir à l'aventure...
Dans Zelda, ça peut le faire. Mais là...
Je passe aussi sur la longueur de tes chapitres qui laissent à penser que tu ne sais pas développer les descriptions. Néanmoins, c'est également mon cas, donc bien que ce soit sujet à reproche, je ne peux pas me permettre de critiquer.
Bref, ton texte est vide, presque autant que tes personnages et démontre que tu ne connais vraisemblablement rien à la psychologie humaine. Je vais lire la suite pour m'amuser, mais il y a des choses à changer... Beaucoup de choses !
Note : 4/20
Note K : Maintenant que tu as pu constater que j'ai purement et simplement démoli ta fiction, sache que ce n'est pas parce que ça ne plait pas que tu ne dois pas continuer. Mettons les choses au clair, ce "livre" est mauvais. Mais au fur et à mesure des chapitres, tu peux l'améliorer, donner plus de consistance à ton texte pour au final pondre une fin potable. Et même si ça ne relèvera pas le niveau du livre, tu en tiras une expérience pour une éventuelle suite ou (ce que je préconise) un nouveau roman.
De plus, je pense que tu dois bien t'amuser à écrire ça, et même si c'est mauvais, c'est une bonne raison de continuer
Dernière modification par Narutotak (23-06-2011 19:06:54)