Tiens tiens voilà un bon topic je vais enfin mettre à profit mon génie cinématographique !
Bon ben je vais commencer par les classiques après je cite des moins connus, mais je vous préviens ça sera long
Fight Club:
On est les enfants oubliés de l’histoire mes amis. On n’a pas de but ni de vraie place. On n’a pas de grande guerre, pas de grande dépression. Notre grande guerre est spirituelle, notre grande dépression c’est nos vies.
T’es juste Dr. Jekyll et Mr Connard !
- Une voiture de ma société roule a 90Km/h. La boite fréquentielle lâche. La voiture se crashe et brûle avec tout le monde à l’intérieur. Maintenant, doit-on faire un rappel ? Prenez le nombre de véhicules en circulation, A, multiplié par le nombre probable de défaillances, B, multiplié par la moyenne des sommes qu’on a eu a payer, C. A fois B fois C égal X. Si cet X est inférieur au coût d’un rappel, on ne fait rien.
- ... Pour quelle compagnie travaillez-vous ?
- Une très connue !
Beuuh ! l’appareil dentaire de la gamine s’est encastré dans le cendrier arrière, ça pourrait faire une bonne pub anti-tabac.
Vous avez une sorte de désespoir hystérique dans votre rire.
Quand on souffre d’insomnies, on n’est jamais vraiment endormi et on n’est jamais vraiment éveillé.
Avec l’insomnie, plus rien n’est réel ! Tout devient lointain. Tout est une copie, d’une copie, d’une copie...
On est une génération d’hommes élevés par des femmes, je suis pas sur qu’une autre femme soit la solution à nos problèmes.
T’as entendu parler du mec qui a inventé le fight club ? Il parait qu’il est né dans un hôpital psychiatrique et qu’il dort pas plus qu’une heure par nuit. C’est un grand homme.
Je suis l’absence totale de surprise de Jack...
Je suis la vengeance narquoise de Jack...
Je suis le canal biliaire irrité de Jack.
Je suis le bulbe rachidien de Jack.
Je suis le cœur brisé de Jack...
Je suis le sentiment de rejet exacerbé de Jack...
- Marla a pas besoin d’un amant mais d’une assistante sociale.
- Elle a besoin d’une douche, c’est pas d’l’amour c’est du baisodrome.
C’était un vrai guerriero de l’industrie de la restauration : en plus de pisser dans la bisque de homard, il pétait sur les meringues, il éternuait sur les plats d’endives brisées et quand au velouté aux champignons et bien... j’suis sûr que vous avez deviné...
Pulp Fiction:
- Un milk-shake à 5 dollars...
- Ils ont des milk-shake à 5 dollars ?
- Mmh...
- Une boule de glace dans du lait ? ... Ils mettent du bourbon dans le lait ?!
Trois tomates se baladent dans l’avenue. Papa tomate, maman tomate. Bébé tomate traîne, regarde les belles nanas. Papa tomate se met en rage, lui balance une claque et lui dit : « Qu’est ce’ t’as t’es tout rouge ? ».
La marche des vertueux est semée d’obstacles qui sont les entreprises égoïstes que fait sans fin, surgir l’œuvre du malin. Béni soit-il l’homme de bonne volonté qui, au nom de la charité se fait le berger des faibles qu’il guide dans la vallée d’ombre de la mort et des larmes, car il est le gardien de son frère et la providence des enfants égarés. J’abattrai alors le bras d’une terrible colère, d’une vengeance furieuse et effrayante sur les hordes impies qui pourchassent et réduisent à néant les brebis de Dieu. Et tu connaîtras pourquoi mon nom est l’éternel quand sur toi, s’abattra la vengeance du Tout-Puissant ! ( dédicace à ssk227 :p )
Si Butch se réfugie en Indochine, je veux un gonze dans chaque bol de riz prêt à lui plomber les molaires.
Ça reste entre toi, moi et monsieur l’obsédé sexuel qui va en chier longtemps avant de terminer sa vie de Pédale.
Si vous le voulez bien, on se taillera des pipes plus tard, les enfants.
Perdons pas de temps en salamalecs.
- Quand tu t’es pointé tout à l’heure, est-ce qu’en entrant tu as vu un panneau qui indiquait une « décharge du negro crevé » ? [...] Est-ce que tu as remarqué, oui ou non, devant chez moi un écriteau disant « décharge de nègres » ?
- Non, pas du tout.
- Et tu sais pourquoi tu l’as pas vu cet écriteau ? PARCE QU’IL Y EN A AUCUN !! Et s’il y en a aucun c’est que j’ai pas envie de planquer des cadavres de noirs !
Blood Diamond:
Il y a des sujets à éviter, Mademoiselle Bowen. Si en Amérique on fait « bling-bling », ici, on fait « bang-bang » !
Dirty Dancing:
Alors Bébé, on fréquente la racaille ?
300:
Spartiates ! Mangez vos victuailles avec appétit... Car nous dînerons en enfer ce soir !
- [...] Nos cultures auraient beaucoup à partager...
- Tu ne l’as pas remarqué ? On a partagé notre culture avec vous toute la matinée !
- Tes rivaux d’Athènes s’agenouilleront devant toi, si tu t’agenouilles devant moi !
- Tu es aussi généreux, que tu es... divin ! Ô roi des rois ! Ton offre, seul un simple d’esprit la refuserait. Mais... l’idée même de m’agenouiller me... vois-tu, j’ai tué tellement d’hommes de ton armée que j’en ai gardé une méchante crampe à la jambe ! Aussi, m’agenouiller serait un vrai supplice...
Ils servent les noirs desseins des rois Perses depuis cinq siècles, des yeux noirs comme la nuit, des dents limées telles des crocs, dépourvus d’âme. La garde personnelle du roi Xerxès, l’élite des guerriers perses, la force de combat la plus meurtrière d’Asie : les Immortels. Nous mettons leur nom à l’épreuve.
Ninja Assassin:
La Faiblesse oblige la force, comme la trahison engendre le sang...
Good Will Hunting:
La semaine prochaine nous parlerons de Freud et pourquoi il s’enfilait des doses de cocaïne à tuer un cheval.
Pourquoi je travaillerai pas pour la NSA ? Ça c’est une colle ! Je vais essayer d’y répondre.
Disons que je travaille à la NSA et qu’on dépose un code sur mon bureau, un code réputé inviolable, mettons que je tente ma chance, mettons que j’le déchiffre, là j’suis très content de moi parce que j’ai bien fait mon boulot, mais c’était peut-être le code de l’emplacement d’une armée rebelle en moyen orient ou en Afrique du nord, et une fois qu’on a repéré le lieu, on bombarde le village où les rebelles se cachent, et quinze cents personnes que j’ai jamais vu, qui ne m’ont jamais rien fait, sont tuées.
Et les politiciens, ils disent : « envoyez les marines assurer la sécurité », parce qu’ils en ont rein à foutre, c’est pas leurs gosses qu’ils envoient se faire descendre, comme eux ils sont jamais allés au feu, parce qu’ils étaient tous planqués dans la garde nationale ; c’est un pauvre môme de Boston sud qui se prend un shrapnel dans les fesses, et il revient pour apprendre que l’usine où il travaillait s’est exportée dans le pays d’où il vient d’arriver et le mec qui lui a filé le shrapnel dans le cul c’est lui qui a son job, parce qu’il bosse pour 15 cents par jour sans pose pipi ; et maintenant il comprend que la seule raison qu’il y avait de l’envoyer là-bas, c’était de mettre en place un gouvernement qui nous vendrait le pétrole pour pas cher, et bien sûr les compagnies pétrolières exploitent le conflit qu’il y a eu pour faire monter les prix, et se faire du même coup un beau p’tit bénef, mais ça aide pas mon pote qui travaille pour des clous.
Il se traine un max à livrer le pétrole bien sûr, peut-être qu’ils vont employer un alcoolique comme capitaine, un buveur de martini, qui s’amuse à faire du slalom entre les icebergs, jusqu’au jour où il en frappe un. Le pétrole se déverse et ça tue toute vie dans l’Atlantique nord.
Alors là, mon pote est chômeur, il peut pas se payer de voiture et c’est à pied qu’il se cherche des jobs, ce qui est pas marrant parce que le shrapnel qu’il a eu dans le cul, lui a filé des hémorroïdes, et puis en plus il crève de faim parce qu’à la soupe populaire on lui propose comme plat du jour, de la morue de l’Atlantique nord avec de l’huile de moteur.
Alors qu’est-ce que j’en pense ? J’vais attendre une offre meilleure. J’me dis, putain je ferai peut-être aussi bien de descendre mon pote, prendre son job, le filer à son pire ennemi, faire monter les prix, bombarder, tuer des bébés phoques, fumer de l’herbe, m’engager dans la garde nationale. Et puis j’serai peut-être élu Président ?
V for Vendetta:
Sous ce masque, il y a plus que de la chair. Sous ce masque, il y a une idée Creedy... Et les idées sont à l’épreuve des balles.
Voilà ! Vois en moi l’image d’un humble Vétéran de VaudeVille. Distribué Vicieusement dans les rôles de Victime et de Vilain par les Vicissitudes de la Vie. Ce Visage, plus qu’un Vil Vernis de Vanité est un Vestige de la Vox populi aujourd’hui Vacante, éVanouie. Cependant cette Vaillante Visite d’une Vexation passée se retrouve ViVifiée et a fait Vœu de Vaincre cette Vénale et Virulente Vermine Vantant le Vice et Versant dans la Vicieusement Violente et Vorace Violation de la Volition ! [il trace un V sur une affiche] Un seul Verdict : la Vengeance. Une Vendetta telle une offrande VotiVe mais pas en Vain. Car sa Valeur et sa Véracité Viendront un jour faire Valoir le Vigilant et le Vertueux. [il ricane] En Vérité ce Velouté de Verbiage Vire Vraiment au Verbeux alors laisse moi simplement ajouter que c’est un Véritable honneur que de te rencontrer. Appelle moi V.
- Qui êtes-vous ?
- Qui ? « Qui » n’est autre que la forme qui résulte de la fonction de « qu’est-ce-que », et ce que je suis c’est un homme sous un masque.
- Ça je vois...
- De toute évidence. Je ne mets pas en doute ton sens de l’observation, je ne fais que mettre en exergue le paradoxe qui est de demander à un homme masqué qui il est.
C’est à madame justice que je dédie ce concerto, en l’honneur des vacances qu’elle semble avoir prises très loin d’ici et en reconnaissance de l’imposteur qui se dresse à sa place.
Bonsoir Londres. Permettez-moi tout d’abord de vous présenter mes excuses pour cette interruption. J’aime, comme beaucoup d’entre vous le confort du train-train quotidien, le sentiment de sécurité et la tranquillité que procure ce qui est familier et répétitif. Je les apprécie, comme tout à chacun.
Mais dans cet esprit de commémoration qui prévoit que les évènements importants du passé, habituellement associés à la mort d’un individu, ou à la fin de quelque horrible bataille sanguinaire, soit célébré par de sympathiques congés, j’ai pensé que nous pourrions célébrer ce 5 Novembre, jour hélas oublié, en consacrant un court instant de notre vie quotidienne à nous asseoir et à bavarder un peu.
Il existe bien sûr des personnes qui ne veulent pas que nous parlions. Je soupçonne qu’en ce moment même, des ordres sont aboyés dans des téléphones et que des hommes armés vont bientôt se mettre en route. Pourquoi ? Parce que même si l’on peut substituer la matraque à la conversation, les mots conserveront toujours leur pouvoir. Les mots sont le support de la compréhension et pour ceux qui les écouteront l’énonciation de la vérité. Et la vérité c’est que quelque chose va très mal dans ce pays, n’est ce pas ?
Cruauté et injustice. Intolérance et oppression. Et la où, auparavant, vous aviez la liberté de faire des objections, de parler comme bon vous semblait, vous avez maintenant des censeurs, des systèmes de surveillance vous contraignants à la conformité et sollicitant votre docilité.
Comment est-ce arrivé ? Qui est à blâmer ? Bien sûr, il y a ceux qui sont plus responsables que les autres et qui devront en rendre compte mais... Encore dans un souci de vérité, si vous cherchez un coupable, regardez simplement dans un miroir.
Je sais pourquoi vous l’avez fait. Je sais que vous aviez peur. Qui pourrait se vanter du contraire ! Guerre, terreur, maladie. Une myriade de problèmes a contribué à perturber votre jugement et à vous priver de votre bon sens. La peur a pris ce qu’il y a de meilleur en vous. Et dans votre panique vous vous êtes tourné vers Adam Sutler, aujourd’hui Chancelier.
Il vous a promis de l’ordre, il vous a promis de la paix. Tout ce qu’il a demandé en échange, c’est votre consentement silencieux et docile. La nuit dernière, j’ai cherché à mettre fin à ce silence ! La nuit dernière, j’ai détruit le Old Bailey pour rendre la mémoire à ce pays.
Il y a plus de 400 ans, un grand citoyen a voulu ancrer à jamais le 5 Novembre dans nos mémoires. Il espérait rappeler au monde qu’impartialité, justice et liberté sont plus que des mots, ce sont des principes. Alors si vous n’avez rien vu, si vous ignorez toujours les crimes de ce gouvernement, je vous suggère de ne pas commémorer le 5 Novembre.
Mais si vous voyez ce que je vois, si vous ressentez ce que je ressens, si vous désirez ce que je désire, alors rangez vous à mes côtés dans un an à compter d’aujourd’hui devant les grilles du Parlement, et ensemble, nous leurs offrirons un 5 Novembre gravé à jamais dans les mémoires !
Stay:
- Dis-moi que je suis douée.
- Tu es douée.
- Dis-moi qu’il se souviendra de moi.
- Qui ça il ?
- Le monde...
- Je me suis volontairement brûlé.
- Brûlé ? Pourquoi vous avez fait ça ?
- Je m’entraîne pour l’enfer...
Inglorious Basterds:
- Vous entendez ce bruit ? C’est le déclic de mon Walter braqué sur vos testicules.
- Alors on est deux, je vise vos couilles depuis le début.
- Ah tu nous fait plaisir à refuser. Voir Donny défoncer un Nazi, c’est comme aller au cinoche pour nous ! ... Hey Donny !!
- Ouais ?
- Y a un boche qui veut mourir pour sa patrie ! Fais lui plaisir !
- C’est moi le meilleur en italien donc c’est moi ton cavalier, Donovitz c’est le deuxième meilleur se sera ton caméraman italien et Omar c’est le troisième meilleur il fera l’assistant de Doni.
- Mais je cause pas italien !
- Ouais c’est ce que je dit t’es le troisième meilleur. Il suffit que tu ferme ta gueule ! Je serais toi je m’entrainerais tout de suite...
Il parait qu’en enfer il y a un cercle réservé a ceux qui gâchent le bon scotch.
Le Parrain I:
Je vais lui faire une offre qu'il ne pourra refuser.
En Sicile les femmes sont plus dangereuses que les coups de fusils.
Ne me raconte plus que tu es innocent parce que c’est une insulte à mon intelligence et ça me rend de mauvaise humeur.
Et pour quelques dollars de plus:
- Le monde est petit.
- Oui, il est également mauvais... Ça na te tente pas de frotter une allumette aujourd’hui ?
- Moi habituellement je ne fume qu’après les repas, pourquoi ne viendrais-tu pas dans dix minutes ?
- Dans dix minutes amigo tu fumeras dans le fond de l’enfer ! Allez debout !
Ce n’est rien le vieux, c’est le compte qui n’y était pas.
L’arme fatale :
- Police ! Ouvrez !
- Comment je sais que je vous êtes de la police ?
- Quand je vous aurai flingué à travers la porte, vous pourrez faire examiner les balles.
- Avec vous ça se termine toujours avec pertes et fracas !
- Non, c’est moi perte lui c’est fracas !
- J’ai mon immunité diplomatique.
- [Lui tire une balle en pleine tête] Et ben, elle vient juste d’être annulée.
Et voilà mais bon j'en ai encore beaucoup plus en réserve mais c'est suffisant comme ça je dois dire :p