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Excellent Genin

[Recueil] de susaku : Prologue et mon premier chapitre

Bonjours: Cela fais très longtemps que je me suis mis à écrire et j'ai déjà posté plusieur texte sur ce forum. J'ai déjà eux beaucoup d'avis sur mes deux textes figurant dans ce recueil et je remercie tout ceux qui ont posté sur ce topic. Aujourd'hui, je profite de mon passage pour modifier mon message original pour plusieur raison. La première étant la corection de mon chapitre un qui ne devrait plus contenir trop de faute d'orthographes. J'en profite aussi pour poster le chapitre 2 qui lui aussi est corrigé. J'aimerais donc continuer à recevoir des avis sur mes différents texte. Mais surtout sur les chapitres 1 et 2 puisque je compte abandonner l'idée de cette prologue qui d'après les dires des membres du site n'est pas brillante ^^. Vous trouverez donc les chapitre cité plus haut sur d'autre message que j'ai posté sur ce topic. Merci d'avance à ceux qui une fois de plus me répondrons.

Ps: La prologue n'a subis aucun changement. Le chapitre 1 est quand à lui tout simplement corriger.



Prologue

Le soleil se levait, annonça de sombre présage. Aujourd'hui serait un jour de deuil, les rapaces c'étaient tout donné rendez-vous au même endroit, le sable du désert, deviendrait rouge sang. Les cris des enfants joyeux allaient céder la place, aux hurlements accompagnant chaque conflit, les morts recouvreraient le sable fin, l'odeur du vent disparaîtrait, remplacé par celle des corps, le désert allait brûler, sous les assauts de l’homme et de leurs armes. La nature perdrait ses droits, seul la ruine et la désolation resterait dans leur sillage. Certain allaient mourir, d’autre survivraient, telle était la loi de la nature. Certain aurait la chance de vivre, pas d’autre, finalement la vie n’était qu’une loterie, certain avait un billet gagnant, ces personnes vivraient, et les autres, et bien ils mourraient. Aujourd'hui allait se jouer le destin d'une centaine d’homme et de femme. Les vainqueurs remporteraient plus qu’une bataille, ils gagneraient le droit de vivre. Et ici, malgré toutes ces choses, un homme attendait. Etait il fou ? Tout ceci avait eux lieu par sa faute, ou plutôt grâce à lui. Sa place était ici, au cœur du conflit. Il était suivit par une centaine de personne, on pouvait lire dans leur regard, la peur. Mais pas chez lui, ses yeux ne reflétaient qu’une seule chose, de la haine. De la haine envers ceux qui un jour avaient détruit sa vie. Il avait tout perdu, sa vie ne valait plus la peine d’être vécu. Mais avant de partir, de disparaître de ce monde, il avait encore une dernière chose à faire. Même si la vie ne représentait plus rien pour lui, il n’était pas seul, la joie de vivre ne les avaient pas encore tous quitté, personne ne les briserait comme ils l’avaient fait avec lui. Alors il attendait, un fusil en main. Bientôt, l’ennemi serait là, il devait se tenir près. Les hommes patientèrent ainsi pendant plus d’une heure, le bruit se mit à courir que l’ennemi n’attaquerait jamais. Mais ils se trompaient, l’ennemi était tout proche, ce n’était plus qu’une question de temps !
               - Ils arrivent ! Dit un jeune garçon, lui aussi munit d’un fusil. Comme les autres, il était très inquiet.  Il allait assister à un des combats les plus féroces, de sa vie. Cette journée resterait gravée dans sa mémoire à tout jamais.     
               - Tu as peur ? Lui demanda l’homme en inspectant l’horizon.
Le garçon d’à peine quinze ans, ne savait quoi répondre. Bien sur qu’il avait peur, très peut de personne pouvait rester ici, sans même ressentir la moindre inquiétude. Malgré tout cela, il avait insisté pour rester ce battre. C’était la survis de son village qui était en jeux, ses amis et certain membre de sa famille était mort pour protéger son lieu de vie. Il aurait été un lâche, s’il avait fuit.
    - Oui, j’ai peur.
L’homme se mit à sourire.
    - Ne t’inquiète pas, en cas de problème, je te protégerais. Répondit il avant de se retourner vers l’étendu désertique, dans quelques minutes, l’ennemi serait là. Le jeune garçon retourna alors à son post, pas vraiment rassuré. L’homme avait beau dire ce qu’il voulait, le garçon savait que peut importe la situation, personne ne pourrait rien faire pour l’aider. Son seul allié aujourd’hui, c’était son fusil.

Et comme prévus, quelques instants plus tard, l’ennemi fit enfin son apparition. Une colonne de Char d’assaut, et de soldat en uniforme, se ruèrent vers la barricade de fortune, derrière la quelle était dissimulés leurs opposants. L’homme se leva fixa son arme contre son épaule, et fit feu. La balle frappa un soldat en pleine tête qui s’écroula en hurlant. Les autres se lancèrent à leurs tours dans la bataille, et très vite, les balles fusèrent entre les deux  camps. Les chars détruisaient le village dans lequel l’homme et ses amis vivaient en paix, quelques jours auparavant. L’arrivé de ces soldats avait tous changés dans sa vie, ils lui avaient tout pris, et malgré ses efforts, il avait perdu. Aujourd’hui il tenait enfin un moyen de se venger. A chaque balle tirée, il sentait sa haine diminuer, comme si le faite d’éliminer ne serais ce qu’un homme, le rapprochait petit à petit vers sa vengeance. Mais qu’es qu’un seul homme, sur les millions dont disposaient ses adversaires ?
Très vite, les combats s’intensifièrent, et les cadavres recouvrirent peu à peu l’étendu désertique. Dans les deux camps, on ne comptait même plus le nombre de mort. L’armé ennemi progressait, et rien de ce que pouvaient faire les habitants du village ne semblait pouvoir stopper leur progression. L’issus du combat paraissait évident, sans une aide extérieure, ils ne tarderaient pas à perdre. Leurs nombres diminuaient, tendit que celui que leurs ennemis semblaient augmenter.
    - Que devons nous faire ? Demanda le jeune garçon à couvert derrière la barricade. Ils vont nous massacrer !
L’homme se releva et tira une nouvelle fois sur le champ de bataille, abatant un homme de plus. Il aurait tant voulu que cette journée se déroule autrement, ils avaient conduit tous ses compagnons à la morgue. Leur ennemi était plus fort qu’eux, et ses soldats plus nombreux, mieux armé et entraîné. Tendit que ses ennemis étaient des soldats vétérans, ses alliers n’étaient que de pauvres agriculteurs, qui quelques jours auparavant n’auraient même pas su tenir une arme. Ils devaient les sauver, même si pour cela, il devait y laisser la vie !
    - Repliez-vous ! Hurla t’il à ses hommes qui luttait toujours avec détermination.
    - Mais tu es fou ? Tu ne compte tout de même pas les affronter seul ? Demanda le jeune garçon.
    - Fuyiez ! Je vais me charger de les retenir, pendant ce temps là, éloignez-vous de la zone ! Avec un peut de chance, je pourrai atteindre, les montagnes.
               -C’est hors de question ! Répondit le garçon déterminé à se battre jusqu’au bout. Tu vas te faire tuer !
               -Il n’y a pas d’autre solution ! Si vous restez, vous mourrez aussi ! C’est moi qui vous ai mis dans cette galère, c’est à moi de vous en sortir ! Répondit il.
Les villageois aurait tant voulu rester à ses cotés, mais ils n’avaient pas le chois, tous leurs espoirs de victoires c’étaient envolés. Que pouvait il faire d’autre ? Ils se levèrent et se mirent à courir vers le village tout en esquivant les balles tirées dans leurs directions. Derrière la barricade, il ne restait plus que l’homme et le jeune garçon, il était le seul à avoir refusé de s’enfuir.
    - Qu’es que tu attends ? Lui demanda l’homme tout en rechargeant son arme.
- Je ne t’abandonnerais pas ! Lui répondit il en abatant à son tours un autre assaillant.
L’homme fouilla dans sa poche et en sortit une photo. C’était le dernier objet qui lui tenait à cœur, la seule chose qui lui avait permit de tenir le coup ces derniers jours. Lorsqu’il la regardait, il oubliait tout, autour de lui. Sans elle qui sais ce qu’il aurait pu faire ? Cette photo ne devait jamais tomber entre les mains de son ennemi. Il la tendit à son dernier compagnon.
    - Prend là ! Elle ne doit jamais tomber entre les mains de l’ennemi ! C’est la seule chose qui pourrait me sortir des ténèbres, dans lesquelles je m’enfonce petit à petit. C’est ma dernière raison de vivre.
Le garçon contempla alors la photographie, il l’avait déjà vue, c’était la chose qui pour son frère avait le plus de valeur. Comment pouvait il l’abandonnez ainsi ?
    - Mais enfin, tu ne peux me donner cette photo ! Tu sais ce qu’il se passera, lorsque tu ne l’auras plus ? Tu vas oublier ce pourquoi tu t’es toujours battu !
    - Tu n’auras qu’à me la rendre, lorsqu’on se retrouvera.
    - Je n’irais nul part sans toi ! Répondit son jeune frère avec détermination, il n’allait tout de même pas l’abandonnez maintenant, alors qu’il avait le plus besoin de lui.
    - Pourtant, il faudra bien ! Puis il sauta par-dessus la barricade.
Désormais, il n’avait plus rien pour le protéger. Il était seul face à ses ennemis. Derrière lui, son frère lui hurlait de faire demi-tours, mais il n’entait plus rien. Les bruits de balles tirés dans sa direction, emplissaient l’air. Il tira une première fois, et la balle vint se loger entre les deux yeux d’une femme soldats. Sans perdre de temps, il rechargea, et abattit une nouvelle cible. Derrière lui, son frère tentait tant bien que mal de le couvrir, mais il ne pouvait plus rien pour sauver son frère, qui courait à travers ses ennemis, il en abattait certain, d’autre avait la chance de s’en sortir. Mais que pouvait il faire, seul face à une armée ? Alors qu’il rechargeait son arme, une balle vint se loger dans son bras gauche.
    - Revient ! Lui hurlait son frère tout en essayant de le protéger.
Mais il était maintenant impossible de faire marche arrière, il allait mourir ici. Très vite, une seconde balle le frappa au torse, puis une à l’autre bras.
    - Par d’ici ! Lança t’il à son jeune frère, qui refusait toujours de s’éloigner du conflit.
Mais il ne pouvait plus rien pour lui, et il savait qu’il finirait comme son frère, s’il restait ici. C’est avec regret qu’il s’éloigna le plus vite possible. Son frère ne pourrait pas retenir l’invasion, et quelques minutes plus tard, toute la zone serait sous leurs contrôles. Il ne pouvait pas se faire tuer lui aussi, son frère lui avait confié sa raison de vivre. La photo ne devait pas tomber entre leurs mains ! Alors il se mit à courir aussi vite qu’il le put, et ne s’arrêta que lorsque son ancien village n’était plus qu’un point sombre à l’horizon. Il fut très vite rejoins à moto, par un des combattants qui avaient fui bien avant lui.
    - Ou es ton frère ? Lui demanda t’il.
Le garçon ne répondit pas, il refusait de prononcer ces mots, il refusait d’admettre cela. Pour réponse, il sortit de sa poche, la photo qui avait tant de valeur aux yeux de son frère. Aussitôt, le motard comprit.
    - Ton frère, était un grand homme. Il a tout donné pour nous protéger, il est mort pour nous.
Le jeune garçon éclata en larme. Son frère était mort. Et la dernière chose qui avait de lui, c’était cette photo…

Mais, son frère était toujours en vie. Il se réveilla quelques heures plus tard dans une petite pièce au mur rouge. Il se trouvait ligoté sur une chaise. Autour de lui, on pouvait voir une multitude de cadavre. C’était très certainement une salle de torture. Pourquoi ne l’avait on pas éliminé ? Ses ennemi souhaitait le garder en vie, mais pourquoi ? Quelques minutes plus tard, deux hommes entrèrent. Il portait tous deux l’uniforme de ses ennemis, et possédaient plusieurs armes de guerre, il ne pourrais pas s’échapper.
                 - Alors voici enfin l’homme, qui tient en échec la plus puissant armé du monde depuis plus d’un mois. Je t’imaginais différents.
Le garçon reconnu immédiatement son interlocuteur. Cet homme ne ressemblait à aucun autre, il était de carrure impressionnante, ses yeux semblable à ceux d’un fauve, et son crâne rasé, une gigantesque balafre marquait son visage. Il le connaissait trop bien, c’était le chef des assaillants. C’était lui, qui indirectement était responsable de tous ses malheurs.
    - Moi non, vous êtes aussi laid que les gens le disent. Répliqua le garçon.
L’homme accompagnant le comandant se mit à ricaner. S’il y avait bien une chose que détestait son supérieur, c ‘était qu’on se moque de son physique. Le regard meurtrier que lui jeta son chef le stoppa immédiatement, personne n’avait le droit de l’injurier de cette façon.
    - Je vois que tu es un comique ! Alors nous allons rire ! Puis il lui décocha un violent coup de poing en pleine tête.
Le garçon se redressa et cracha une de ses dents, il avait la bouche pleine de sang.
    - Ou se trouve tes complices ? Demanda le commandant en tourna autour de son prisonnier.
    - Pas ici en tout cas. Lui répondit il. Aussitôt, le chef des assaillants le frappa de nouveau, mais cette fois ci, bien plus fort.
    - Ou sont ils ? Réitéra son tortionnaire. Mais, on lui répondit de nouveau la même chose. Il ne trahirait jamais ses amis.
    - De toute manière, je saurais te faire parler ! Dit il, fous de rage. Cet homme lui tenait tête, mais plus pour longtemps.
    - Je ne vous dirait rien ! Sal monstre ! Le commandant le frappa de nouveau. Puis il s’adressa à son second.
               -Qu’on m’emmène la tronçonneuse !
Aussitôt, il s’exécuta, et revint quelques secondes plus tard. Il tendit l’arme à son commandant qui la saisit à deux mains. Il s’approcha et la mis en route à quelques centimètres de la tête de son prisonnier, qui ne fléchit même pas.
    - Tu as quelque chose à me dire ? L’interrogea une dernière fois son bourreau. 
    - Oui, allez vous faire voir ! Répondit le garçon en lui crachant au visage.
    - C’est donc ton dernier mot. Puis il approcha la lame du visage de son prisonnier, dans quelques secondes la pièce serait recouverte de sang. Alors que la lame allait pénétrer dans la chair du prisonnier,  un officier fit irruption dans la pièce. Dan sa main, on pouvait voir un téléphone.
    - Chef, un appel du commandement central, pour vous.
Aussitôt son supérieur s’interrompit  s’interrompit, il était rare de recevoir un appel d’un supérieur hiérarchique, mais que le commandement central lui même désire vous parlez personnellement, c’était quelque chose d’extraordinaire, cela n’arrivait qu’une seul fois dans une vie. Anxieux, il saisit l’appareil et le plaça contre son oreille. Ainsi s’engagea une très longue conversation, durant la quel le commandant se contentait d’acquiescer, ou d’émettre une éventuelle objection, même si elles étaient très rares, on ne pouvait pas contredire un supérieur, à moins d’être fous, ou bien suicidaire. Puis, il rendit le combiné à son officier et se dirigea d’un pas lent, vers le garçon.
    - Vous aurez beau me battre à mort, me torturer pendant des heures, je ne vous dirais rien !
Le chef s’approcha, dégaina son revolver et le plaça sur le visage du jeune garçon.
    - Nous avons d’autre projet pour toi ! Puis il appuya sur la détente…

Oui, finalement la vie n’est bien qu’une loterie, ceux qui possèdent la chance d’avoir un billet gagnant vivent, les autres ne peuvent que mourir. Pourtant, lorsque tout semble perdu, il reste toujours en chance de remporter la mise. Comment ? En ayant un deuxième billet…

Edit: je tiens à préciser, que je ne copmpte pas faire publier ceci sur WOn, mais dans une vraie maison d'édition. Rivière blanche pour être précie.

Dernière modification par susaku (06-04-2009 22:13:04)

 

galère
galère
Bon Genin

  • 33 Messages | Galerie | Recueil | Offline

Re: [Recueil] de susaku : Prologue et mon premier chapitre

ton style est super! tu écris très bien, pourtant ce n'est pas quelque chose que j'aime bien lire les guerre avec des fusils, moi j'aime celle avec les ninjas, mais j'ai lu ton chapitre jusqu'au bout parce que j'aime beaucoup ton style! la seule chose dont tu devrais faire gaffe, c'est les virgules, parfois t'en met trop dans une phrase alors que c'est pas utile et c'est pas très agréable à lire, mais sinon c'est bien! sauf que, si l'histoire n'a aucun rapport avec naruto, elle n'a aucune chance d'être publiée ici.

 

susaku
susaku
Excellent Genin

Re: [Recueil] de susaku : Prologue et mon premier chapitre

Il y a erreur, ceci est un livre que j'ai écris, je compte le faire  publier dans une vraie maison d'édition. Pas sur WON. C'est pour cela qu'il n'y a strictement aucun rapport avec Naruto. Tout ce qui est écris dans ce chapitre est de moi, il n 'y aura pas Naruto n'y aucun autre personnage du manga. Désolé, j'aurais dus le préciser

 

sakura2blond
sakura2blond
Modérateur Fanfictions

Re: [Recueil] de susaku : Prologue et mon premier chapitre

susaku > j'avais lu ton prologue sur ton ancien topic, et là ben j'étais pas mal contente d'avoir la suite. je suis d'accord avec galère, tu as vraiment un bon style, même si ce n'est pas trop ce genre d'histoire que je lis (ou écris)
bref bravo et bonne chance à toi smile

++ les p'tits choux et merci d'avoir lu smile

si t'habites près d'une rivière j'peux te prêter un parpaing....--

Epicure
Epicure
Chuunin

  • 478 Messages | Galerie | Recueil | Offline

Re: [Recueil] de susaku : Prologue et mon premier chapitre

"Le soleil se levait, annonça de sombre présage." = Ok première phrase, problème de concordance des temps.
Pourquoi ne pas utiliser un participe dans ce genre de cas ?
"Le soleil se levait, annonçant de sombres présages".

On retrouve ce genre de problème tout au long du texte ...
En plus de l'orthographe plus que limite mais je pense que c'est ta phase brouillon comme tu le précises au début.

"Certain aurait la chance de vivre, pas d’autre," bon la juste au passage emploie plutot un futur , "Certains auront la chance de vivre, d'autres pas" c'est mieux je trouve.

"et bien ils mourraient" = le "et bien" je m'en passerai a ta place <_<

"ne savait quoi répondre."  = ne savait que répondre.

Bon j'ai pas tout lu car j'ai aussi du travail à faire de mon coté, mais aprés une rapide lecture, l'histoire me semble pas mal.
Fais juste attention a la concordance des temps c'est TRES important et demande a quelqu'un de corriger tes fautes y en a vraiment pas mal .
Bonne chance !!!

Pour ceux qui préferent le KFC au NFC, le LSD aux MST => [MougaynoCunni]

Ryuuchan
Ryuuchan
Modérateur

Re: [Recueil] de susaku : Prologue et mon premier chapitre

Ouhlà, sans vouloir te découragern avant d'envoyer ton manuscrit à une maison d'édition, y a pas mal de choses à revoir.

Dans l'ensemble, le récit est plutôt bon et poignant, et tu sembles avoir un bon scénar, mais...

- comme l'a dit Epicure, relis-toi ou fais-toi corriger. L'orthographe est tout simplement affreuse, et je doute qu'un éditeur soit encouragé par un texte aussi bourré de fautes.

On note également quelques incohérences et des mots pas très appropriés :

"fixa son arme contre son épaule" >> "épaula son fusil" serait peut-être mieux ?

"La balle frappa un soldat en pleine tête qui s’écroula en hurlant"  >> un type frappé en pleine tête par une balle, en général n'a pas le temps de s'effondrer [i]en hurlant[/i], en général il est mort.

Les ennemis semblent très nombreux, et le héros veut les retenir, seul... c'est pas crédible du tout.

Le retournement de situation au début de la bataille (la perte de terrain du camp du héros) est bien trop rapide.

Au début, le héros semble bouffé par la haine, et près à tuer à n'importe quel prix. Son retournement et ça décision de sauver ses amis est elle aussi bien trop rapide. Ou alors n'insiste pas tant qur le fait qu'il veuille une revanche. Là non plus, pas très crédible.

"tout en esquivant les balles tirées dans leur direction" >> "tout en tentant d'esquiver les balles tirées dans leur direction", peut-être, parce que ta phrase suppose que tes personnages soient capables d'éviter sans faillir la trajectoir des tirs ennemis.

Bon, je sais, ça fait beaucoup de reproches. Je te l'ai dit, dans l'ensemble, ton histoire me semble pas mal du tout, surtout que tu sembles avoir de l'idée et te débrouiller avec le style du récit. Mais quand on y regarde de près, c'est pas parfait du tout.

Tu me diras peut-être que je chipotte sur des détails, mais, puisque tu veux te faire éditer, je suppose que tu n'es pas sans savoir à quel point il est difficile aujourd'hui de se faire publier, surtout pour un jeune auteur. La loi du fric aujourd'hui veut que les maisons d'éditions soient sur de récolter un max de fric. Aussi ne peux-tu pas te permettre d'envoyer un manuscrit "moyennement parfait".

C'est peut-être décourageant, mais c'est comme ça. Mon rêve à moi aussi serait un jour de publier un livre, et je te souhaites vraiment bon courage. Même si c'est dur, si c'est vraiment ce que tu veux, être publié, alors tu y arriveras, le tout c'est de ne pas lâcher l'affaire.

Un lien qui pourrait t'être utile :

[url]http://www.simonay.com/[/url]

Parmi les onglets du haut, tu en as un qui est intitulé "conseil à de jeunes auteurs voulant se faire éditer". Y a plein de p'tits trucs utiles pour éviter les emmerdes avec les éditeurs et sur comment protéger son manuscrit.

Un autre :

[url]http://www.auto-edition.com/calcre.html[/url]

(sur le calcre, tu peux aussi trouver pas mal de conseil)

Sincèrement, bonne chance à toi smile

The question is : what is a mahnah-mahnah ?

susaku
susaku
Excellent Genin

Re: [Recueil] de susaku : Prologue et mon premier chapitre

Merci pour tes conseil, concernant l'homme qui se prend une balle dans la tête et qui s'écroule en hurlant, alors que c'est impossible, je le sais, on me l'a déjà dit, je n'ai juste pas encore eu le temps de corriger mais ce sera fais. Pour les fautes, je les corrigerais quand je serais satisfais de ma manière d'écrire. Concernant le faite que le héros veuille retenir les ennemis seul, je ne peux pas le changer. Le passage ici présent est très important, et le héros ne peut être que seul. La perte de terrain des compagnons du héros est à revoir, et je vais trouver un moyen d'arranger cela. Peut être en faisant intervenir un autre personnage. Je suis par contre obliger d'insister sur la vengense. Elle est au centre de mon histoire, mais je ne peux pas en dire plus. Concernant la phrase, tout en esquivant les balles tirées dans leur direction, je vais ma modifier, il est vrais que la tienne est mieux.

 

Jason Seagal
Jason Seagal
Bon Genin

  • 440 Messages | Galerie | Recueil | Offline

Re: [Recueil] de susaku : Prologue et mon premier chapitre

Je vais etre assez cinglant moi aussi, mais deux choses me choquent: déjà, que le prologue d'un livre commence avec une bataille, c'esta ssez rare, et si c'est mal amené, comme ici car ce n'est fait que de manière brouillone, cela n'a pas vraiment pas trop d'interet, à part dépeindre une boucherie humaine d'entrée, mais cela pourrait etre interessant, pour développer une ambiance, un état mais dans ce cas je te conseillerai d'etablir un style assez particulier
Ensuite second point qui me choque, je suis aps un litteraire, loin de là, mais avoir du dialogue au prologue, c'est assez inhabituel, bon point mais aussi très étrange et aussi un peu brouillon. Généralement, dans le prologue ( ou si c'est ton incipit a toi de voir), on fait un minimum de description des eprsonnes, que ça soit dans tous les sens du terme, on etablit le cadre spatio-temporel etc...., on ne met pas une péripétie d'entrée
Ensuite, niveau orthographe, il faut que tu te relises, ensuite, je te conseille de travailler ta syntaxe, certaines de tes phrases sont vraiment mal amenés et comme l'ont dit mes compères au dessus, ça fait vraiment brouillon et ça ne donne pas forcément envie de lire. De plus, je te conseille aussi de ne pas tomber dans la banalité, ce que malheureusement tu fais, car tu fais quoi? tu décris une batalle, avec beaucoup de détails, combiend e fois on peut lire ça? Enormément, que ça soit des fics ou des romans, donc oui utilise des figures de styles ( Reporte toi a Candide de Voltaire, les scènes de batailles et de meurtres sont assez ironiques et ce grace aux figures de style). Voilà, mon avis, meme si ce n'est l'avis que d'un simple scientifique XDD

L'inaction de gens du Bien ne fait qu'aggraver les consequences des gens du Mal

susaku
susaku
Excellent Genin

Re: [Recueil] de susaku : Prologue et mon premier chapitre

Merci à toi aussi, concernant ma prologue sans description, sachez que c'est fais exprés. La suite de mon livre ne se déroule pas dans le même endroit, les personnages qui voyagent avec le héros ne sont pas les même. Ce prologue, dépeins ce qu'il se passe avant le début de mon histoire. Alors, tout les personnages vus ici réaparaitrons, mais uniquement dans le dernier volume de cette sage ( trois en tout ). La bataille du début, doit avoir lieu, car sans elle autant ne pas faire de prologue, c'est elle qui démarre toute l'histoire. Personnellement je ne vois pas en quoi ma bataille est brouillone, oui comme on me l'a dit au dessus, certaine phase sont bien trop rapide, mais pour moi c'est la seule chose à corriger ! ( concernant la bataille, mes phrase mal tournée le sont aussi. ) Je ne suivrais pas ton conseil de crée des batailles comme celle de Candide et autre livre du genre. Je ne veux pas, que mon livre soit drôle, la mort n'a rien de commique dans la vrais vis, mes batailles sont sérrieuse, et je ne vais mêtre des blagues dans ces dernière.

 

Jason Seagal
Jason Seagal
Bon Genin

  • 440 Messages | Galerie | Recueil | Offline

Re: [Recueil] de susaku : Prologue et mon premier chapitre

Attention, je ne t'ai pas dit de rendre comique une bataille heiin, mais de t'inspirer des figures de style utilisées pour en creer toi meme pour enrichir ton vocabulaire, pour eviter de tomber dans le basique comme " Un boulet eclata trois visages" ( j'invente), en gros c'est pour rendre ton texte plus interessant

L'inaction de gens du Bien ne fait qu'aggraver les consequences des gens du Mal

susaku
susaku
Excellent Genin

Re: [Recueil] de susaku : Prologue et mon premier chapitre

ok, j'avais mal comprit. En fiate, mon gros problème avec ce chapitre, c que je dois me débrouiller, pour dire un maximome de chose, tout en n'en gardant beaucoup secrette. Je ne peux pas te raconter toute mon histoire, mais sache que la suite du livre n'a rien de banal. Car, il est vrais, que mon chapitre peut coller avec prresque tout les livres, mais la suite deviens plus science fiction, et il n' y a presque plus de guerre comme dans ce chapitre.

 

Epicure
Epicure
Chuunin

  • 478 Messages | Galerie | Recueil | Offline

Re: [Recueil] de susaku : Prologue et mon premier chapitre

susaku >
N'oublies pas de revoir la concordance des temps !
Perso si je suis pas allez jusqu'au bout de la lecture  c'est que ça m'a choqué.
Faudrait pas que l'éidteur fasse de meme, il sera pourtant bien plus exigeant que nous.
Dis toi que des projets il doit en lire beaucoup et tu dois faire la différence. 

Au niveau de l'histoire y a quelques incohérences comme le montrent les posts précédent mais tu peux changer ça facilement.

En tout cas relis bien ton texte pour les temps et évite les redondances inutiles.
Voila.
Hésite pas à pronominaliser de temps en temps pour éviter les répétitions aussi.
Exemple ; "alors que la lame allait pénétrer dans la chair du prisonnier,  un officier fit irruption dans la pièce. "

= "alors que la lame allait pénétrer la chair de celui-ci, un officier fit irruption".
ça permet d'avoir un style moins lourd.

Pour ceux qui préferent le KFC au NFC, le LSD aux MST => [MougaynoCunni]

susaku
susaku
Excellent Genin

Re: [Recueil] de susaku : Prologue et mon premier chapitre

Merci de tes conseils, je vais changer tout ça. J'ai encore pas mal de boulot, de toute façon, mieux vaut attendre un peu et envoyer quelque chose de bien, plutôt que de foncez sur l'occation et de se ramasser. Merci de votre honnéteté, j'ai encore quelque progrès à faire.

 

nejia555
nejia555
Bon Genin

Re: [Recueil] de susaku : Prologue et mon premier chapitre

Pas mal, même si il y a quelques répétitions... Très bon style, j'adore ! Mais il y a certaines scènes qui pourraient être mieux détaillées, par exemple celle du coup de poing. S'il crache sa dent, le coup doit être super violent, et donc ça mérite quelques détails, genre : "il sembla un instant assommé, puis parut ressentir la douleur du coup ; il cracha une de ses dents."
Au début il ya des virgules placées aux mauvais endroit, comme: " le sable du désert, deviendrait rouge sang" tu supprime la virgule, "Les cris des enfants joyeux allaient céder la place, aux hurlements " là aussi tu supprime, car ça donne un "rythme" bizarre à ta phrase (j'ai pas trouver mieux pour expliquer).
Enfin les virgules c'est des détails, mais de gros détails quand même. ^^
Bonnne chance j'espère qu'avec tes critiques tu t'amélioreras et que ton livre paraîtra!

Do your life as you want, not as the society say.

susaku
susaku
Excellent Genin

Re: [Recueil] de susaku : Prologue et mon premier chapitre

merci, pour ton message, j'ai déjà commencé à modifier certaine chose, et les virgules en font partit.

Les erreurs suivantes doivent être corrigées pour que le message puisse être envoyé :

Les messages doivent être argumentés, nous vous invitons à relire les règles. Pour le dialogue, le bar est à votre disposition.

 

susaku
susaku
Excellent Genin

Re: [Recueil] de susaku : Prologue et mon premier chapitre

Voici donc maintenant le chapitre 1 qui a vus son orthographe corriger.

CHAPITRE 1

- Alors, Kyo on rêvasse ?
Le garçon en question, se leva d’un bond, quelqu’un venait de lui crier dans les oreilles. Il balaya la salle des yeux, il ne savait même plus où il se trouvait. Après quelques secondes d’intense réflexion, il comprit enfin, il n’y avait plus le moindre doute possible. Il se trouvait en enfer, devant ses yeux à moitié fermés, s’étalait sur presque toute la longueur du mur une immense surface noire. Partout autour, on pouvait voir de gigantesque morceau de papier, jaunit par le temps, sur lesquelles se trouvaient d’immenses incantations. Des mots incompréhensibles recouvraient les murs de la pièce. Ils étaient diverses et variés, tel que exercice un, document cinq page soixante. Tout autour, se trouvait une trentaine de garçons et de filles du même âge que lui, tous avaient les yeux fixés dans sa direction, et à quelques centimètres de son visage, se trouvait le maître des lieux, il portait d’affreuses lunettes noires, ses cheveux étaient courts, trop courts à ses yeux en tout cas, et dans sa main luisait ce qui ressemblait de loin à un gigantesque bout de bois. Il le fixait d’un air grave, maintenant, il en était sûr, il se trouvait en enfer, et en face de lui, se tenait un véritable démon.
- Je t’ai posé une question ! Réitéra l’homme en levant son bâton.
- Pitié! Ne me faite pas de mal !
Aussitôt, ses compagnons éclatèrent de rire sans raison apparente. C’est alors qu’il comprit tout. Il s’était trompé, il connaissait bien ce lieu, il ne se trouvait pas en enfer, enfin ce n’était pas le nom officiel de cet endroit. Et le démon, était en réalité un homme presque comme les autres, il était professeur et actuellement il se trouvait dans une salle de classe. Comment avait il donc pu commettre deux fois la même erreur ? Il s’était encore endormi en cours. Et il s’était ridiculisé une fois de plus.
- Ah bonjour monsieur ! Répondit le jeune garçon d’un air enjoué. Mieux valait que ses camarades croient qu’il avait fait exprès. Il éviterait ainsi bon nombre de moqueries, il n’avait déjà pas une très bonne réputation, mieux valait éviter d’en rajouter une couche.
- Très drôle ! Puisque daignez être parmi nous, pouvez vous nous dire, que c’est il passé, le deux Novembre deux mil cent vingt six ?
Encore ? Pourquoi cela tombait -il toujours sur lui ? Les professeurs devraient pourtant avoir compris depuis le temps. Il n’en avait rien à faire des cours d’histoire, comme tous les autres cours d’ailleurs. Et pourtant, ces stupides enseignants continuaient à la bassiner avec les dates, les formules de maths, et toutes les autres choses qui l’intéressaient au plus haut point. Dès le jour funeste où il avait posé les pieds dans son école primaire, sa vie avait été gâchée. On lui avait volé il ne savait combien d’années de sa vie.
- Heu, ce n’est pas la découverte de l’Amérique ? Lança Kyo sans même avoir prit le temps de réfléchir. Qu’est ce qui l’en avait à faire des siècles passés ? Le professeur le fixa d’un air mauvais, visiblement ce n’était pas la bonne réponse.
- Ah oui, c’est vrai je me suis trompé ! C’est la première guerre mondiale ! Rectifia Kyo, même s’il n’avait toujours pas réfléchit.
Le visage de l’homme vira au rouge, on aurait dit qu’il allait exploser. Cette fois ci, Kyo n’eut pas d’autre idée. Il avait longuement hésité entre la découverte de l’Amérique et la chute de l’empire Romain, mais  fallait il mieux qu’il se taise. Le professeur détourna les yeux et interrogea un autre élève qui répondit sans la moindre hésitation.
- C’est la découverte de la Génovia !
Puis le maître se tourna dans la direction de Kyo qui regardait à travers la fenêtre.
- Alors Kyo, la Génovia n’évoque pour vous aucun souvenir ?
- Heu, non. Répondit Kyo.
- Dans ce cas, laissez moi vous rafraîchir la mémoire. La Génovia est une maladie mortelle, elle a été découverte le deux Novembre deux mil cent vingt six, par un groupe de scientifiques d’ex union Soviétique. Son origine reste encore aujourd’hui inconnue, mais ses effets sont dévastateurs, voilà maintenant plus de trois cents ans, qu’elle élimine tous les hommes et femmes de plus de quarante ans. Et ceci dans toutes les régions du monde. Et bien entendu, il n’y a pas de remède.
Kyo en avait déjà entendu parlé, cette maladie était responsable de millions de décès chaque année. Et malheureusement, rien ne semblait pouvoir y changer quoi que ce soit.
- J’en avait déjà entendu parlé. Répondit Kyo en se retournant vers la fenêtre, espérant qu’on allait enfin le laisser tranquille.
- Bien sur que tu en avais déjà entendu parlé ! Nous travaillions dessus depuis près de trois semaines !
Kyo n’en avait pas la moindre idée, il n’écoutait jamais les cours, et cela depuis le début de sa scolarité. Les études, ce n’était pas son truc.

Enfin, la matinée était terminée, il était désormais dans la cours de l’établissement, autour de lui, plus d’une centaine de lycéens discutaient entre eux, pourtant Kyo lui était seul. Mais ça ne lui faisait plus rien, voilà plus de trois ans, que tous les jours, il se retrouvait tout seul. Personne ne venait vers lui, il n’était pas un type cool, comme disait certain. Non, il ressemblait à un écolier normal, il ne portait pas de vêtements de marque, ses parents n’avaient pas les moyens d’en acheter. Tout chez lui passait inaperçu. Il n’avait pas comme certain, une coupe de cheveux excentrique, ni même une corpulence extraordinaire. Il était de taille normale, ses cheveux étaient courts et bruns, ses yeux étaient marrons claires, en somme, il était quelqu’un de tout à fait ordinaire. Peut -être est-ce pour cela, qu’il ne s’attirait pas la sympathie des autres élèves. Toujours est- il qu’il attendait comme tous les jours, que la sonnerie retentisse, marquant ainsi la fin de cette terrible journée. Malheureusement, ce n’était pas pour tout de suite, alors il patientait comme il pouvait. C’est alors qu’un garçon fit son apparition, il se dirigea vers lui suivit par sa bande d’amis, en tout ils étaient une petite dizaine.
- Alors Kyo, comment vas tu aujourd’hui ? Lui demanda le lycéen.
Mais, il savait très bien, que celui ci se moquait éperdument de comment il se portait, cela faisait maintenant plus d’une semaine, qu’il le collait. Il avait tout d’abord cherché à savoir pourquoi il s’intéressait à lui, Kyo était un garçon parmi tant d’autre, alors que lui était peut être l’un des jeunes hommes les plus connus de ce bahut. Finalement, il avait finit par comprendre.
- Qu’est que tu me veux, Arthur ? Lui demanda Kyo en prenant un air menaçant, il n’aimait pas que l’on se moque de lui. Il n’était pas le genre de garçon à se laisser marcher sur les pieds, lorsqu’on le cherchait, on ne mettait pas très longtemps à le trouver.
- Pourquoi es- tu aussi agressif ? Je veux seulement discuter un peu avec toi. Répondit Arthur d’un ton mielleux.
- Ne te moque pas de moi ! Dis moi ce que tu me veux.
Il pointa son doigt vers le bâtiment central puis lui dit.
- Dans ce bâtiment, plus précisément dans le bureau du principal, se trouve un coffret. Je veux que tu me le rapportes. J’y aurais bien été moi même, mais les profs sont tous sur mon dos, je me ferais prendre, à coup sur.
- Il y a quoi dedans ? Demanda Kyo curieux.
- Ne t’occupe pas de ça. Rapporte moi juste ce que je te demande.
Kyo se mit à sourire, il en était sur, le jour où quelqu’un dans cette école s’intéresserait vraiment à lui n’était pas encore venu.
- Vas le chercher tout seul ton coffre. Répondit -il en s’éloignant.
Kyo n’était pas stupide. Il comprenait les choses très vite, quand il le voulait. Arthur, n’avait que faire de lui. Il ne serait le toutou de personne. S’il voulait tant récupérer le contenu de ce coffret, il devrait se débrouiller seul !
- Je crois que tu n’as pas tout comprit ! Lui dit Arthur en lui bloquant le passage. Tu n’as pas vraiment le choix.
- Au contraire, c’est toi qui n’as pas comprit. Le jeune garçon s’approcha, et lui décocha une droite. Le chef de bande s’écroula. Puis, Kyo l’enjamba, et continua sa route.
- Sale con ! Tu vas me le payer ! Dit Arthur en se relevant. Il fit signe à ses compagnons qui se précipitèrent vers celui qui avait osé frapper leur chef.
Le jeune garçon, ne savait plus que faire. Arthur était bien trop lâche pour l’affronter seul, et maintenant il se retrouvait face à dix adversaires, et cette fois ci, il ne pouvait plus compter sur l’effet de surprise.
- Tu es donc lâche à ce point ? L’interrogea il.
- Oui je le suis, mais vaut mieux être un lâche en vie, qu’un homme courageux mais mort ! C’était quand même fou, vous donniez un coup de point et tout de suite on vous menaçait de mort. Dans d’atroces souffrances bien évidemment. Kyo ne comptait même plus le nombre de fois, où on lui avait dit « toi un jour, je te tuerais ! ». Et pourtant, comme vous pouvez le voir, il n’était toujours pas mort. En réalité, les êtres humains étaient les plus forts, lorsqu’il fallait menacer quelqu’un. Mais lorsqu’il s’agissait de passer à l’action, il n’y avait subitement plus personne. A croire, que tous étaient brusquement tombés malade. Alors, il n’allait sûrement pas s’inquiéter pour si peux. Enfin, il allait certe passer un sale quart d’heure, car la bande ne semblait pas encore avoir oublier ce qu’il venait de faire. Arthur non plus d’ailleurs, qui arborait sur sa joue, une superbe marque rouge. Kyo trouvait cela très esthétique. Le jeune homme se baissa, et saisit une pierre qu’il lança sur la bande, atteignant un de ses agresseurs dans l’oreille. Aussitôt, l’un d’entre eux le plaqua au sol, et commença à le frapper de toutes ses forces Il fut très vite rejoint par ses compères qui le rouèrent de coups de pieds. Arthur regardait la scène avec amusement, personne n’avait le droit de le frapper impunément ! Alors que Kyo encaissait les coups depuis plus de cinq minutes, une voix s’éleva au dessus des cris de la victime.
- Ca suffit ! Hurla le directeur à l’attention des combattants. Aussitôt, les coups cessèrent. Écartez-vous immédiatement. La bande s’exécuta à regret. Kyo se releva péniblement, il saignait du nez, ses vêtements étaient déchirés, il était dans un très mauvais état.
- Arthur et sa bande, suivez moi ! Dit le principal, en se dirigeant vers le bâtiment principal. Tout en suivant l’homme, Arthur lui jeta un regard noir, il n’avait pas eu besoin de dire quoi que ce soit, Kyo avait comprit. Ce regard lui hurlait « tu ne perds rien pour attendre ».

Dernière modification par susaku (06-04-2009 22:16:01)

 

Nniaarvultyos
Nniaarvultyos
Bon Genin

  • 255 Messages | Galerie | Recueil | Offline

Re: [Recueil] de susaku : Prologue et mon premier chapitre

Sans même lire le texte, je dois dire que tu as sacrément raison en disant que ton orthographe est déficient. Rien que pour ça, FireFox (et son dictionnaire intégré) est merveilleux, surtout pour les posts.

Après, Word ou Works font l'affaire et peuvent même corriger des fautes de grammaire et de style (même s'il sont un tantinet énervants pour ce dernier point, parfois).

Après, je ne peux que te conseiller d'aérer tes phases de narration ; ça donne pas vraiment envie de te lire, ces paquets de phrases.

Du peu que j'ai lu, j'ai trouvé tes phrases décousues. Elles sont difficiles à suivre quand on ne sait pas ce qu'elles veulent dire à l'avance (ce qui est ton cas).

Dernière chose ; "point" = "." et "poing" = "gnon".

EDIT :

Pourquoi postes-tu ce texte sur WoN alors que, d'après ce que j'ai survolé, il ne parle ni du manga, ni même ne serait-ce que des personnages (02/11/2126 + 300 ans =2426 --> ère ninja ?).

Dernière modification par Nniaarvultyos (16-02-2009 22:06:41)

J'allais vous dire d'aller en enfer... mais il semblerait que vous y êtes déjà.

mimichan
mimichan
Excellent Genin

  • 13 Messages | Galerie | Recueil | Offline

Re: [Recueil] de susaku : Prologue et mon premier chapitre

Salut !
Tout d'abord, ton texte est bourré de fautes d'orthographe.
Deuxièmement, au début, il aurait fallut que tu décrives un peu mieux cet enfer avant de dire que c'en est un. Allonge la scène, rend-la plus réelle.
Ce sont des remarques rapides, je n'ai pas envie de relire ton texte et de surligner toutes les erreurs sinon dans l'ensemble, c'est potable.

 

susaku
susaku
Excellent Genin

Re: [Recueil] de susaku : Prologue et mon premier chapitre

alors, c vrais que j'aurais dit présiser, on m'a fait deux fois le coup ^^

Ce n'est pas une fiction, c'est un roman que j'ai écris. Je poste sur WON pour avoir des avis, un des espace du forum écriture est fait pour ça

 

susaku
susaku
Excellent Genin

Re: [Recueil] de susaku : Prologue et mon premier chapitre

Et maintenant, le chapitre 2

CHAPITRE 2:

La sonnerie annonçant la fin des cours n’avait pas encore finit de retentir, que Kyo se faufila entre les nombreux élèves de son lycée. Les lycéens se pressaient pour rentrer chez eux le plus vite possible, mais pour lui, c’était très différent. Il voulait à tout prix semer la bande d’Arthur, qui n’avait pas cessé de l’harceler pendant tout le reste de la journée Le chef de la bande n’avait toujours pas oublié l’affront qu’il lui avait fait subir. Il avait juré de se venger. Comment ? Kyo n’en avait pas la moindre idée, et il ne souhaitait pas le savoir. S’ils l’attrapaient, il passerait un sale quart d’heure. Il allait enfin sortir du lycée, il apercevait devant lui la grande grille toute rouillé et derrière la ville. Mais lui, ne s’y rendait pas, il ne vivait pas en ville contrairement à la plupart de ses camarades de classe. Non, il vivait loin, très loin. Au plus profond de la forêt de pins qui bordait la route, sa maison se trouvait à plus d’une demi- heure de marche, et tous les soirs, il devait faire ce long et fatiguant trajet, à pied. Pourtant, Kyo se considérait comme un garçon plutôt chanceux, certes, il vivait très loin de la ville, et de ses camarades, mais cela ne le dérangeait pas. Bien au contraire, contrairement à ce qu’on pouvait croire, on était bien plus en sécurité dans la sombre forêt que dans l’immense ville en ruine. La nature, elle vous laissait en paix, ce n’était pas le cas de la cité. Vivre, dans ces sombres bâtiments changeait n’importe quel homme. Là bas, les êtres humains étaient des loups, près à tout pour avoir leur morceau de viande. Le mot partage n’existait plus depuis bien longtemps. Tel était le monde en 2507. Et c’était dans ce monde, que Kyo vivait. Il traversa la route et s’engagea dans l’immense forêt. Très vite, tous les bruits d’origines humaines disparurent. Il n’entendait plus rien, mis à part le bruit de la nature. Kyo aimait cette forêt, ici il se sentait bien, il n’avait plus l’impression d’être un moins que rien, comme c’était si souvent le cas. Il était seul, personne ne pouvait lui dire quoi que ce soit, ni l’agresser d’une quelconque façon. Kyo était un garçon révolté. Il détestait son monde, sa vie et tout ce qui faisait son quotidien. Il aurait tant aimé vivre des siècles auparavant, il ne savait pas comment il aurait vécu, mais cela serait toujours mieux qu’ici. Oui, rien ne pouvait être pire qu’ici. Il voulait pouvoir faire changer les choses, mais dans ce monde, seul l’argent comptait. Les hommes d’importances étaient bien plus réceptifs lorsqu’on leur glissait dans les poches un ou deux billets. Malheureusement, lui n’en avait pas, il devait se contenter d’être simple spectateur. Mais une chose était sur, si un jour il se retrouvait au pouvoir les choses seraient alors bien différentes.

Il continua sa route pendant quelques minutes appréciant le paysage, qu’il avait tant contemplé depuis sa naissance. Cette forêt, c’était chez lui. Personne ne s’aventurait jamais ici, sauf certains animaux, mais en tout les cas, il n’y avait jamais rencontré d’être humain. Et ce n’était pas plus mal. Mais aujourd’hui quelque chose était différent, le jeune garçon venait de repérer des empreintes, elles n’avaient rien d’animal. On distinguait très nettement, les pas de plusieurs hommes. Trois en tout, et derrière, une autre empreinte se distinguait encore. Ce n’était pas humain, Kyo en était certain. Ou alors, l’homme en question était un véritable géant, car il chausserait alors du cinquante cinq. Et d’après les connaissance sdu garçon, c’était plutôt rare. Les empreintes étaient toutes fraîches, quelqu’un était passé par là, quelques minutes plus tôt. Qui que ce soit, le jeune garçon décida qu’il ne fallait pas trop s’éterniser dans le coin et se remit en route.

Alors qu’il marchait depuis quelques instants, des bruits d’agitations lui parvinrent. Il se passait quelque chose d’étrange. Curieux, Kyo se dirigea alors vers la source du bruit. Et ce qu’il vit alors, le laissa sans voix. A quelques mètres de lui, un homme de près de deux mètres, habillé d’un grand manteau noir, balayait la zone, et grâce à son immense canon rattaché à son bras, détruisait tout sur son passage. Le jeune garçon était terrifié, et il ne savait plus quoi faire. La peur le paralysait. Il voulait s’enfuir, courir le plus loin possible, mais ses jambes refusaient de lui obéir. Calme toi, Kyo, ne cessait il de se répéter, il ne t’a même pas encore vue. Ce n’est qu’un homme armé d’un lance missile. Il te suffit de faire demi tour. Mais, c’était bien plus facile à dire qu’à faire. Le jeune garçon n’avait pas l’habitude d’être confronté à une telle situation. C’est alors que ce qui devait arriver, arriva. Le géant finit par le repérer. Il avait maintenant une bonne raison de s’inquiéter, comme il s’en doutait le tireur n’était pas humain. Ses yeux étaient blancs et démuni de la moindre expression, c’était des yeux de tueur. De tels yeux ne pouvaient appartenir qu’à une seule personne, c’était ceux de Ruyji le cyborgue de la zone dans laquelle il vivait. Les cyborgue, étaient de gigantesques êtres de métal, à la peau plus dure qu’un blindage, et ils avaient la fâcheuse manie de transporter sur eux tout un arsenal de guerre. Ces monstres s’étaient démocratisés depuis la fin de la seconde guerre mondiale, de part leur force et obéissance sans faille ils s’étaient imposés comme de très puissantes armes de guerre. Toutefois, ces créatures étaient démunies de la moindre intelligence, ils étaient programmés pour accomplir leur mission et rien d’autre. Kyo avait déjà rencontré le cyborgue, il était le gardien de la ville, qu’il n’avait d’ailleurs jamais quitté jusqu’à aujourd’hui. Sa présence ici était donc plus que louche. Peux être était -il en panne ? Qu’il était subitement devenu fou. Peu importe de quoi il s’agissait, cela n’arrangeait pas ses affaires. Si l’être de métal décidait de le prendre en chasse, il n’aurait pas la moindre chance. Sans prononcer le moindre mot, le cyborgue commença à s’approcher de lui. Et lorsqu’il ne fut qu’à quelques centimètres du jeune que la peur paralysait, le souleva par le col comme s’il ne pesait rien. Les yeux de Ruyji virèrent du blanc ou rouge. Le monstre de métal était en train de le scanner. Afin de faciliter le travail de la police tous les enfants étaient à leur naissance scannés, tout d’eux était alors enregistrer et mis à la disposition des forces de l’ordre. Bien entendu, les cyborgues pouvaient eux aussi accéder à ces informations. En 2507, personne ne pouvait cacher bien longtemps son identité, n’importe qui d’assez important pouvait savoir votre nom, votre prénom, vos empreintes digitales et toutes les informations sur votre compte, mais ces contrôles étaient aujourd’hui très rares dans la région, le coin n’était pas réputé pour être dangereux. L’alliance, et les différents groupes révolutionnaires ne sévissaient pas dans cette contrée d’après les autorités. Cela devenait de plus en plus louche, les cyborgues ne vivaient pas en forêt et en temps normal ne scannait personne sans raison apparente. Quelques instants plus tard, les yeux du cyborgue redevinrent normaux, enfin, aussi normaux qu’ils pouvaient d’être.
- Information relative à l’individu, aucune. Dit le cyborgue alors qu’il venait de consulter la base de donnée.
Alors là, il n’y avait plus le moindre doute possible, Ryuji avait vraiment un problème. Kyo figurait forcement dans la base de donnée, tous les enfants s’y trouvaient ! Si l’on n’était pas dans la base de donnée, on n’existait pas. En temps normal Kyo s’en serait moqué, mais aujourd’hui cela le plaçait dans une situation catastrophique. Le cyborgue était devenu fou, c’était certain ! Et le monstre de métal, ne semblait pas décidé à le lâcher. Qu’allait il lui faire ? Le tuer ? Non tout de même pas. Dans le pire des cas il se contenterait de l’envoyer au centre de police de la ville. Là, quelqu’un consulterait de nouveau la base de donnée et il pourrait rentrer chez lui. Du moins, il l’espérait ! C’est alors que Kyo entendit un bruit étrange, au début il ne comprit pas ce qu’il se passait, jusqu’à ce que ses yeux tombent sur le bras du cyborgue qui était en train de changer de forme. Le processus dura quelques secondes, désormais Kyo était totalement paniqué, à la place du bras de l’être de métal se trouvait une hache. Cela ne présageait rien de bon.

Kyo était en très mauvaise posture. Pourquoi fallait il qu’il se trouve à chaque fois au mauvais endroit au mauvais moment ! Sa curiosité lui pourrissait littéralement la vie, combien de fois lui avait on dit : Kyo, ta curiosité de perdra. Mais bien évidemment le jeune n’y avait pas fait attention, peut- être qu’il aurait du écouter plus attentivement les conseils des membres de sa famille, qui l’avaient toujours mis en garde. Mais aujourd’hui, il était trop tard, le danger était réel. Kyo ne savait pas quoi alors il se mit à hurler au cyborgue tout ce qui lui passait par la tête.
- Lâche moi sale monstre ! Retourne au garage !
Mais Kyo gaspillait sa salive pour rien. L’être de métal n’avait même pas une once d’intelligence et il ne comprenait rien à ce qu’il lui disait. Le cyborgue obéissait à un ordinateur et ce dernier lui ordonnait d’abattre le jeune homme, avec tous les moyens dont il disposait. Il leva son arme et se prépara à l’enfoncer dans le crâne du garçon, qui hurlait encore plus fort.
- Tu ne m’as toujours pas comprit ! Range ta hache et va ennuyer quelqu’un d’autre !
Mais, le cyborgue ne comptait visiblement pas le laisser vivre. Il cessa alors de hurler et se rendit à l’évidence.
- Au moins, je n’aurais pas école demain.
Puis le cyborgue frappa.

 

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Bon Genin

Re: [Recueil] de susaku : Prologue et mon premier chapitre

[quote=susaku]alors, c vrais que j'aurais dit présiser, on m'a fait deux fois le coup ^^

Ce n'est pas une fiction, c'est un roman que j'ai écris. Je poste sur WON pour avoir des avis, un des espace du forum écriture est fait pour ça[/quote]
J'aime bien ton roman pourrait tu m'envoyer un mp  a chaque fois que tu sort un nouveau chapitre stp ^^

sinon j'aime bien le caractère de Kyo, j'espère que tu trouveras une maison d'édition wink

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susaku
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Excellent Genin

Re: [Recueil] de susaku : Prologue et mon premier chapitre

Oui bien sur si tu le souhaite je t'envérais un message des que je posterais un chapitre, par contre je ne compte pas mètre tout le livre sur le site. Je compte aller jusqu'au chapitre 3, peu être 4.

Les erreurs suivantes doivent être corrigées pour que le message puisse être envoyé :

Les messages doivent être argumentés, nous vous invitons à relire les règles. Pour le dialogue, le bar est à votre disposition.

 

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