Bonjours: Cela fais très longtemps que je me suis mis à écrire et j'ai déjà posté plusieur texte sur ce forum. J'ai déjà eux beaucoup d'avis sur mes deux textes figurant dans ce recueil et je remercie tout ceux qui ont posté sur ce topic. Aujourd'hui, je profite de mon passage pour modifier mon message original pour plusieur raison. La première étant la corection de mon chapitre un qui ne devrait plus contenir trop de faute d'orthographes. J'en profite aussi pour poster le chapitre 2 qui lui aussi est corrigé. J'aimerais donc continuer à recevoir des avis sur mes différents texte. Mais surtout sur les chapitres 1 et 2 puisque je compte abandonner l'idée de cette prologue qui d'après les dires des membres du site n'est pas brillante ^^. Vous trouverez donc les chapitre cité plus haut sur d'autre message que j'ai posté sur ce topic. Merci d'avance à ceux qui une fois de plus me répondrons.
Ps: La prologue n'a subis aucun changement. Le chapitre 1 est quand à lui tout simplement corriger.
Prologue
Le soleil se levait, annonça de sombre présage. Aujourd'hui serait un jour de deuil, les rapaces c'étaient tout donné rendez-vous au même endroit, le sable du désert, deviendrait rouge sang. Les cris des enfants joyeux allaient céder la place, aux hurlements accompagnant chaque conflit, les morts recouvreraient le sable fin, l'odeur du vent disparaîtrait, remplacé par celle des corps, le désert allait brûler, sous les assauts de l’homme et de leurs armes. La nature perdrait ses droits, seul la ruine et la désolation resterait dans leur sillage. Certain allaient mourir, d’autre survivraient, telle était la loi de la nature. Certain aurait la chance de vivre, pas d’autre, finalement la vie n’était qu’une loterie, certain avait un billet gagnant, ces personnes vivraient, et les autres, et bien ils mourraient. Aujourd'hui allait se jouer le destin d'une centaine d’homme et de femme. Les vainqueurs remporteraient plus qu’une bataille, ils gagneraient le droit de vivre. Et ici, malgré toutes ces choses, un homme attendait. Etait il fou ? Tout ceci avait eux lieu par sa faute, ou plutôt grâce à lui. Sa place était ici, au cœur du conflit. Il était suivit par une centaine de personne, on pouvait lire dans leur regard, la peur. Mais pas chez lui, ses yeux ne reflétaient qu’une seule chose, de la haine. De la haine envers ceux qui un jour avaient détruit sa vie. Il avait tout perdu, sa vie ne valait plus la peine d’être vécu. Mais avant de partir, de disparaître de ce monde, il avait encore une dernière chose à faire. Même si la vie ne représentait plus rien pour lui, il n’était pas seul, la joie de vivre ne les avaient pas encore tous quitté, personne ne les briserait comme ils l’avaient fait avec lui. Alors il attendait, un fusil en main. Bientôt, l’ennemi serait là, il devait se tenir près. Les hommes patientèrent ainsi pendant plus d’une heure, le bruit se mit à courir que l’ennemi n’attaquerait jamais. Mais ils se trompaient, l’ennemi était tout proche, ce n’était plus qu’une question de temps !
- Ils arrivent ! Dit un jeune garçon, lui aussi munit d’un fusil. Comme les autres, il était très inquiet. Il allait assister à un des combats les plus féroces, de sa vie. Cette journée resterait gravée dans sa mémoire à tout jamais.
- Tu as peur ? Lui demanda l’homme en inspectant l’horizon.
Le garçon d’à peine quinze ans, ne savait quoi répondre. Bien sur qu’il avait peur, très peut de personne pouvait rester ici, sans même ressentir la moindre inquiétude. Malgré tout cela, il avait insisté pour rester ce battre. C’était la survis de son village qui était en jeux, ses amis et certain membre de sa famille était mort pour protéger son lieu de vie. Il aurait été un lâche, s’il avait fuit.
- Oui, j’ai peur.
L’homme se mit à sourire.
- Ne t’inquiète pas, en cas de problème, je te protégerais. Répondit il avant de se retourner vers l’étendu désertique, dans quelques minutes, l’ennemi serait là. Le jeune garçon retourna alors à son post, pas vraiment rassuré. L’homme avait beau dire ce qu’il voulait, le garçon savait que peut importe la situation, personne ne pourrait rien faire pour l’aider. Son seul allié aujourd’hui, c’était son fusil.
Et comme prévus, quelques instants plus tard, l’ennemi fit enfin son apparition. Une colonne de Char d’assaut, et de soldat en uniforme, se ruèrent vers la barricade de fortune, derrière la quelle était dissimulés leurs opposants. L’homme se leva fixa son arme contre son épaule, et fit feu. La balle frappa un soldat en pleine tête qui s’écroula en hurlant. Les autres se lancèrent à leurs tours dans la bataille, et très vite, les balles fusèrent entre les deux camps. Les chars détruisaient le village dans lequel l’homme et ses amis vivaient en paix, quelques jours auparavant. L’arrivé de ces soldats avait tous changés dans sa vie, ils lui avaient tout pris, et malgré ses efforts, il avait perdu. Aujourd’hui il tenait enfin un moyen de se venger. A chaque balle tirée, il sentait sa haine diminuer, comme si le faite d’éliminer ne serais ce qu’un homme, le rapprochait petit à petit vers sa vengeance. Mais qu’es qu’un seul homme, sur les millions dont disposaient ses adversaires ?
Très vite, les combats s’intensifièrent, et les cadavres recouvrirent peu à peu l’étendu désertique. Dans les deux camps, on ne comptait même plus le nombre de mort. L’armé ennemi progressait, et rien de ce que pouvaient faire les habitants du village ne semblait pouvoir stopper leur progression. L’issus du combat paraissait évident, sans une aide extérieure, ils ne tarderaient pas à perdre. Leurs nombres diminuaient, tendit que celui que leurs ennemis semblaient augmenter.
- Que devons nous faire ? Demanda le jeune garçon à couvert derrière la barricade. Ils vont nous massacrer !
L’homme se releva et tira une nouvelle fois sur le champ de bataille, abatant un homme de plus. Il aurait tant voulu que cette journée se déroule autrement, ils avaient conduit tous ses compagnons à la morgue. Leur ennemi était plus fort qu’eux, et ses soldats plus nombreux, mieux armé et entraîné. Tendit que ses ennemis étaient des soldats vétérans, ses alliers n’étaient que de pauvres agriculteurs, qui quelques jours auparavant n’auraient même pas su tenir une arme. Ils devaient les sauver, même si pour cela, il devait y laisser la vie !
- Repliez-vous ! Hurla t’il à ses hommes qui luttait toujours avec détermination.
- Mais tu es fou ? Tu ne compte tout de même pas les affronter seul ? Demanda le jeune garçon.
- Fuyiez ! Je vais me charger de les retenir, pendant ce temps là, éloignez-vous de la zone ! Avec un peut de chance, je pourrai atteindre, les montagnes.
-C’est hors de question ! Répondit le garçon déterminé à se battre jusqu’au bout. Tu vas te faire tuer !
-Il n’y a pas d’autre solution ! Si vous restez, vous mourrez aussi ! C’est moi qui vous ai mis dans cette galère, c’est à moi de vous en sortir ! Répondit il.
Les villageois aurait tant voulu rester à ses cotés, mais ils n’avaient pas le chois, tous leurs espoirs de victoires c’étaient envolés. Que pouvait il faire d’autre ? Ils se levèrent et se mirent à courir vers le village tout en esquivant les balles tirées dans leurs directions. Derrière la barricade, il ne restait plus que l’homme et le jeune garçon, il était le seul à avoir refusé de s’enfuir.
- Qu’es que tu attends ? Lui demanda l’homme tout en rechargeant son arme.
- Je ne t’abandonnerais pas ! Lui répondit il en abatant à son tours un autre assaillant.
L’homme fouilla dans sa poche et en sortit une photo. C’était le dernier objet qui lui tenait à cœur, la seule chose qui lui avait permit de tenir le coup ces derniers jours. Lorsqu’il la regardait, il oubliait tout, autour de lui. Sans elle qui sais ce qu’il aurait pu faire ? Cette photo ne devait jamais tomber entre les mains de son ennemi. Il la tendit à son dernier compagnon.
- Prend là ! Elle ne doit jamais tomber entre les mains de l’ennemi ! C’est la seule chose qui pourrait me sortir des ténèbres, dans lesquelles je m’enfonce petit à petit. C’est ma dernière raison de vivre.
Le garçon contempla alors la photographie, il l’avait déjà vue, c’était la chose qui pour son frère avait le plus de valeur. Comment pouvait il l’abandonnez ainsi ?
- Mais enfin, tu ne peux me donner cette photo ! Tu sais ce qu’il se passera, lorsque tu ne l’auras plus ? Tu vas oublier ce pourquoi tu t’es toujours battu !
- Tu n’auras qu’à me la rendre, lorsqu’on se retrouvera.
- Je n’irais nul part sans toi ! Répondit son jeune frère avec détermination, il n’allait tout de même pas l’abandonnez maintenant, alors qu’il avait le plus besoin de lui.
- Pourtant, il faudra bien ! Puis il sauta par-dessus la barricade.
Désormais, il n’avait plus rien pour le protéger. Il était seul face à ses ennemis. Derrière lui, son frère lui hurlait de faire demi-tours, mais il n’entait plus rien. Les bruits de balles tirés dans sa direction, emplissaient l’air. Il tira une première fois, et la balle vint se loger entre les deux yeux d’une femme soldats. Sans perdre de temps, il rechargea, et abattit une nouvelle cible. Derrière lui, son frère tentait tant bien que mal de le couvrir, mais il ne pouvait plus rien pour sauver son frère, qui courait à travers ses ennemis, il en abattait certain, d’autre avait la chance de s’en sortir. Mais que pouvait il faire, seul face à une armée ? Alors qu’il rechargeait son arme, une balle vint se loger dans son bras gauche.
- Revient ! Lui hurlait son frère tout en essayant de le protéger.
Mais il était maintenant impossible de faire marche arrière, il allait mourir ici. Très vite, une seconde balle le frappa au torse, puis une à l’autre bras.
- Par d’ici ! Lança t’il à son jeune frère, qui refusait toujours de s’éloigner du conflit.
Mais il ne pouvait plus rien pour lui, et il savait qu’il finirait comme son frère, s’il restait ici. C’est avec regret qu’il s’éloigna le plus vite possible. Son frère ne pourrait pas retenir l’invasion, et quelques minutes plus tard, toute la zone serait sous leurs contrôles. Il ne pouvait pas se faire tuer lui aussi, son frère lui avait confié sa raison de vivre. La photo ne devait pas tomber entre leurs mains ! Alors il se mit à courir aussi vite qu’il le put, et ne s’arrêta que lorsque son ancien village n’était plus qu’un point sombre à l’horizon. Il fut très vite rejoins à moto, par un des combattants qui avaient fui bien avant lui.
- Ou es ton frère ? Lui demanda t’il.
Le garçon ne répondit pas, il refusait de prononcer ces mots, il refusait d’admettre cela. Pour réponse, il sortit de sa poche, la photo qui avait tant de valeur aux yeux de son frère. Aussitôt, le motard comprit.
- Ton frère, était un grand homme. Il a tout donné pour nous protéger, il est mort pour nous.
Le jeune garçon éclata en larme. Son frère était mort. Et la dernière chose qui avait de lui, c’était cette photo…
Mais, son frère était toujours en vie. Il se réveilla quelques heures plus tard dans une petite pièce au mur rouge. Il se trouvait ligoté sur une chaise. Autour de lui, on pouvait voir une multitude de cadavre. C’était très certainement une salle de torture. Pourquoi ne l’avait on pas éliminé ? Ses ennemi souhaitait le garder en vie, mais pourquoi ? Quelques minutes plus tard, deux hommes entrèrent. Il portait tous deux l’uniforme de ses ennemis, et possédaient plusieurs armes de guerre, il ne pourrais pas s’échapper.
- Alors voici enfin l’homme, qui tient en échec la plus puissant armé du monde depuis plus d’un mois. Je t’imaginais différents.
Le garçon reconnu immédiatement son interlocuteur. Cet homme ne ressemblait à aucun autre, il était de carrure impressionnante, ses yeux semblable à ceux d’un fauve, et son crâne rasé, une gigantesque balafre marquait son visage. Il le connaissait trop bien, c’était le chef des assaillants. C’était lui, qui indirectement était responsable de tous ses malheurs.
- Moi non, vous êtes aussi laid que les gens le disent. Répliqua le garçon.
L’homme accompagnant le comandant se mit à ricaner. S’il y avait bien une chose que détestait son supérieur, c ‘était qu’on se moque de son physique. Le regard meurtrier que lui jeta son chef le stoppa immédiatement, personne n’avait le droit de l’injurier de cette façon.
- Je vois que tu es un comique ! Alors nous allons rire ! Puis il lui décocha un violent coup de poing en pleine tête.
Le garçon se redressa et cracha une de ses dents, il avait la bouche pleine de sang.
- Ou se trouve tes complices ? Demanda le commandant en tourna autour de son prisonnier.
- Pas ici en tout cas. Lui répondit il. Aussitôt, le chef des assaillants le frappa de nouveau, mais cette fois ci, bien plus fort.
- Ou sont ils ? Réitéra son tortionnaire. Mais, on lui répondit de nouveau la même chose. Il ne trahirait jamais ses amis.
- De toute manière, je saurais te faire parler ! Dit il, fous de rage. Cet homme lui tenait tête, mais plus pour longtemps.
- Je ne vous dirait rien ! Sal monstre ! Le commandant le frappa de nouveau. Puis il s’adressa à son second.
-Qu’on m’emmène la tronçonneuse !
Aussitôt, il s’exécuta, et revint quelques secondes plus tard. Il tendit l’arme à son commandant qui la saisit à deux mains. Il s’approcha et la mis en route à quelques centimètres de la tête de son prisonnier, qui ne fléchit même pas.
- Tu as quelque chose à me dire ? L’interrogea une dernière fois son bourreau.
- Oui, allez vous faire voir ! Répondit le garçon en lui crachant au visage.
- C’est donc ton dernier mot. Puis il approcha la lame du visage de son prisonnier, dans quelques secondes la pièce serait recouverte de sang. Alors que la lame allait pénétrer dans la chair du prisonnier, un officier fit irruption dans la pièce. Dan sa main, on pouvait voir un téléphone.
- Chef, un appel du commandement central, pour vous.
Aussitôt son supérieur s’interrompit s’interrompit, il était rare de recevoir un appel d’un supérieur hiérarchique, mais que le commandement central lui même désire vous parlez personnellement, c’était quelque chose d’extraordinaire, cela n’arrivait qu’une seul fois dans une vie. Anxieux, il saisit l’appareil et le plaça contre son oreille. Ainsi s’engagea une très longue conversation, durant la quel le commandant se contentait d’acquiescer, ou d’émettre une éventuelle objection, même si elles étaient très rares, on ne pouvait pas contredire un supérieur, à moins d’être fous, ou bien suicidaire. Puis, il rendit le combiné à son officier et se dirigea d’un pas lent, vers le garçon.
- Vous aurez beau me battre à mort, me torturer pendant des heures, je ne vous dirais rien !
Le chef s’approcha, dégaina son revolver et le plaça sur le visage du jeune garçon.
- Nous avons d’autre projet pour toi ! Puis il appuya sur la détente…
Oui, finalement la vie n’est bien qu’une loterie, ceux qui possèdent la chance d’avoir un billet gagnant vivent, les autres ne peuvent que mourir. Pourtant, lorsque tout semble perdu, il reste toujours en chance de remporter la mise. Comment ? En ayant un deuxième billet…
Edit: je tiens à préciser, que je ne copmpte pas faire publier ceci sur WOn, mais dans une vraie maison d'édition. Rivière blanche pour être précie.
Dernière modification par susaku (06-04-2009 22:13:04)